Editions Peuples du Monde - Mot-clé - guide touristique - Commentaires2023-03-05T13:19:29+01:00Patrick Kaplanianurn:md5:dc573698ec4c73b5f68298196195dfadDotclearArgentine 3 - Jac Fortonurn:md5:ca2bc347335ace278a5b725dfe876dc42023-03-03T12:06:25+01:002023-03-05T14:19:29+01:00Jac Forton<p style="text-align: center;"><strong>LE PETIT TRAIN DU BOUT DU MONDE</strong></p>
<p><br />
<strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/TdF_1.JPG" style="margin: 0 auto; display: table;" />Situation</strong></p>
<p> Il faut se rendre à Ushuaia en Terre de Feu, tout au sud de l’Argentine ! Le train partant de la gare <em>Estación del fin del mundo</em> à 8 km de la ville, il faut prendre une navette (près de l’office du tourisme) ou un taxi pour y arriver.</p>
<p><strong>Histoire</strong></p>
<p><strong>Du train des prisonniers...</strong><br />
Il faut remonter à 1882. Le vaisseau Cabo de Hornos sous les ordres de Luis Piedrabuena arrive dans la région dans le cadre de l'Expédition australe argentine dans le but d'explorer le sud encore inconnu et d'y consolider la souveraineté argentine, la zone étant aussi explorée par les Chiliens dans le même but. C'est au responsable scientifique de l'expédition, le lieutenant de la marine italienne Santiago Bove, que l'on attribue l'idée d'installer une prison sur les rives du Canal Beagle. Le président Julio Roca invoquant « les bons résultats obtenus par la France en Nouvelle Calédonie et l'Angleterre en Australie », demande à son Congrès de voter une loi établissant « une colonie pénale dans le sud de la République », loi vite votée évidemment. Les premiers prisonniers arrivent en 1884 et vivent dans des baraquements de bois et de tôles. Il s'agit en grande majorité de récidivistes ou de criminels condamnés à de lourdes peines. Les autorités les choisissent en fonction de leurs talents manuels car ils doivent « être utiles » et construire une préfecture, un phare et défricher la région. Le président crée la Province de la Terre de Feu et ordonne la construction de ce qui deviendra sa capitale : Ushuaia.<br />
Mais c'est à partir de 1900 que la prison commence vraiment à fonctionner en tant que telle. Le directeur Catello Muratgia fait construire en plus solide les bâtiments de la prison, les édifices officiels et les premières maisons de la future ville. Pour cela, les prisonniers doivent aller couper les arbres dans la forêt proche. Au fur et à mesure des constructions (Ushuaia commence à attirer des immigrants et à s'agrandir), la forêt se fait plus lointaine. Il faut établir un moyen de transporter les troncs vers les chantiers. Ce sera le XILOCARRIL, une voie de rails en bois de 50 cm d'écartement sur lesquels les wagons-plateformes sont tirés par des boeufs. Mais l'exploitation du bois se développe, il est utilisé pour les constructions, pour les cuisines et le chauffage de la colonie pendant toute l'année. Vu le froid, la consommation est grande. Les conditions de vie sont rigoureuses et la discipline de fer. Devant le bâtiment de la Marine de guerre, une statue montre un prisonnier en train d'être fouillé par un garde, pour vérifier s'il ne cachait pas une bûche dans sa poche arrière sans doute...<br />
Bientôt, "la ligne" ne suffit plus. Le directeur réclame et obtient d'installer une voie dite "Decauville" de 60 cm avec des rails en métal, une voie définitive qui pénètre profondément dans la forêt, jusqu'au site de l'actuel Parque Tierra del Fuego. Tout ce travail permet l'établissement d'ateliers divers de scierie, charpenterie, menuiserie, boulangerie, travail du métal pour que les prisonniers apprennent un métier en vue de leur réinsertion dans la société. On dit que les premiers habitants appelèrent la première locomotive « La coquette ». <br />
En 1947, le gouvernement décide de fermer la prison et les locaux sont occupés par la Marine de guerre argentine. En 1949, un violent tremblement de terre secoue la Terre de Feu. Les gares et les voies sont détruites.<br />
Malgré les efforts de reconstruction, le « train des prisonniers » est définitivement abandonné en 1952.</p>
<p><strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/TdF_2.jpg" style="margin: 0 auto; display: table;" /></strong></p>
<p><strong>... au petit train austral fuégien, le Train du bout du monde</strong><br />
Quarante ans plus tard, dans le cadre de la promotion touristique internationale de Ushuaia, l'entreprise Tranex décide que la réouverture de la ligne du petit train serait un grand atout pour la ville. Le projet devient bien plus qu'une simple proposition commerciale : il enthousiasme tout le monde car il s'agit de recréer une légende. En effet, il ne faut pas simplement réparer, il faut TOUT refaire dans un pays qui a complètement perdu sa tradition ferroviaire sous la pression des lobbies du tout privé des années 80-90.<br />
Il faut d'abord trouver des rails. On les débusque dans des entrepôts de Buenos Aires : 500 tonnes de rails d'un autre chemin de fer ayant desservi des mines de charbon ailleurs en Patagonie. Ils sont transportés à Ushuaia par bateau. Mais pour les poser, il faut des dormants. Après bien des recherches, on les trouve dans la province du Chaco, dans le grand nord argentin et transportés au grand sud patagon. L'idée étant de suivre la voie historique, les chercheurs s'adressent au musée de la fin du monde qui retrouve de vieilles cartes du trajet et les plans des anciennes gares. On reconstruit tout selon ces documents.<br />
Pour reconstituer le parc de locomotives et de wagons, il est décidé de les construire sur place selon les modèles anciens, avec quelques petits changements : l'écartement sera de 50 cm et les locos utiliseront du diesel, les machines à vapeur fonctionnant au charbon produisant des étincelles trop dangereuses pour les forêts et nettement moins écologiques. Trois modèles sont choisis : le premier de type Garrat entièrement construit dans les ateliers de Ushuaia, le second construit en Angleterre de type Lynton & Barnstaple qui avait longtemps circulé dans le sud de ce pays vers 1890, et le dernier, un Diesel Orenstein & Koppel allemand modèle 1938 de 13 tonnes et 72 chevaux, qui avait donné 50 ans de bons et loyaux services dans la région andine de Mendoza, la machine idéale pour le terrain fuégien. C'est elle qui inaugure le circuit le 11 octobre 1994...<br />
Et maintenant, c'est le tour des voitures de passagers. Elles combineront l'aspect antique ‒ caoba poli et bronzes ‒ avec la nécessité touristique, donc des sièges et une disposition d'époque mais de larges fenêtres et un bon chauffage. Le tout n'est pas vraiment terrible en apparence mais la valeur de reconstitution historique est indéniable.<br />
En 2024, le train célèbre ses 30 ans de service !<br />
Une fois parti, le train traverse le Puente Quemado (2) (Pont Brûlé) qui passe sur le Ravin du Taureau. Juste à côté, on peut observer les restes du vieux pont de bois. La voie traverse le río Pipo et grimpe vers sa première escale, la Estación Cascada La Macarena (3) où les passagers peuvent admirer une belle chute d'eau et le panorama sur toute la vallée. Le train emmenant les prisonniers s’arrêtait ici pour remplir la réserve d’eau de la locomotive (surnommée La Coqueta). Une petite marche et l'on tombe sur la reconstitution d'un campement yamaná, la nation indigène exterminée par l'arrivée du « progrès ».<br />
Après avoir passé la limite du Parc National (4), le train longe le río Pipo en contournant une turbal (une tourbière) (5) et s'arrête pour observer les restes de la vieille scierie Lombardich où travaillaient les prisonniers. On peut observer les « tocones », les souches des arbres coupés par les prisonniers, d’où le nom de « cimetière des arbres » donné à cet endroit.<br />
Dernière étape, le train longe la tourbière, pour atteindre sa destination la Estación Andén (quai) Parque Nacional (6). Soit vous prenez immédiatement le train retour (le billet est un aller-retour), soit vous entrez dans le parc et vous devrez racheter un biller retour ou trouver un transport alternatif (navette ou taxi). Le petit train fuégien est un tel succès qu'il est envisagé de prolonger la ligne jusqu'au centre de Ushuaia. La légende continue...</p>
<p><strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/TdF_3.JPG" style="margin: 0 auto; display: table;" />Côté Pratique</strong></p>
<p>‒ Il y a 3 sorties par jour, dépendant du temps.<br />
‒ Le train est accessible aux personnes à mobilité réduite. Les WC des première et dernière stations également. Avec les documents requis (certificat de handicap, carte d’identité), ces personnes bénéficieront d’un tarif préférentiel (-50 %) et d’un embarquement prioritaire.<br />
‒ Trois types de billets : <br />
Classe Turista : commentaire touristique disponible dans plusieurs langues dont le Français.<br />
Classe Premium : la sortie du matin comprend un petit déjeuner ; celle de midi et de l’après-midi, un repas, options végétarienne et véganes. Les voitures sont chauffées, les sièges plus confortables.<br />
Classe VIP : huit places d’exception, plusieurs choix de plats. Embarquement prioritaire, visite guidée des ateliers, passagers choyés.<br />
‒ Horaire d’hiver (du 1er mai au 31 août) : sorties à 10 h, 12 h 30, 15 h.<br />
Horaire d’été (du 1er septembre au 30 avril) : 9 h30, 12 h et 15 h. Réservation recommandée.</p>
<p><strong>Attention </strong>: l’entrée du parc n’est pas comprise dans le billet !</p>
<p><strong>Contacts</strong><br />
Téléphone : Whatsapp +549 (2901) 301-141.<br />
info@trendelfindelmundo.com.ar.</p>
<p style="text-align: center;"><strong>LE TRAIN DES NUAGES</strong></p>
<p><br />
<strong>Situation</strong></p>
<p> Ce voyage se fait à partir de Salta, dans le Nord-Ouest Argentin (NOA).</p>
<p><strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/Nuages_1.JPG" style="margin: 0 auto; display: table;" />Histoire</strong></p>
<p> Le trajet actuel est une petite partie de la route originelle des Chemins de Fer Général Belgrano, une ligne prévue pour relier Salta au col de Socompa (frontière avec le Chili) à travers la Cordillère des Andes, qui se prolongeait ensuite vers les ports chiliens du Pacifique offrant ainsi des débouchés vers l’Asie.<br />
Les premières études de faisabilité datent de 1899 mais après l’examen de divers projets sous différents présidents, la construction ne démarre qu’en 1921 sous la présidence de Hipólito Yrigoyen et sous la direction d’un ingénieur états-unien, Richard Fontaine Maury.Le trajetl ne fut terminé qu’en 1948.<br />
C’est une des plus belles réalisations techniques du 20e siècle : 29 ponts, 21 tunnels, 13 viaducs, plusieurs zig-zags…<br />
Ce n’est qu’en 1971 que nait l’idée d’un train touristique sur la ligne, inauguré en 1972. Privatisée en 1990 par le président Carlos Menem, la ligne est gérée par des intérêts privés puis fermée. Le gouvernement de la province de Salta reprend la main et depuis 2008, la ligne est gérée par l’entreprise Ecotren.<br />
On dit que le petit train a pris son nom lors du voyage inaugural durant les années soixante, car la vapeur expulsée par la locomotive restait figée dans l’air glacial de la haute montagne. Une autre version signale que le train circule souvent au-dessus des nuages…</p>
<p><strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/Nuages_2_Gilda_Selis.JPG" style="margin: 0 auto; display: table;" />Circuit</strong></p>
<p> Le programme offre deux services : <br />
‒ en bus depuis Salta jusqu’à San Antonio de los Cobres, puis en train jusqu’au viaduc La Polvorilla, <br />
‒ ou le seul circuit en train. <br />
Dans le premier cas, le bus part de Salta, dans le second cas, les visiteurs doivent se rendre à San Antonio de los Cobres par leurs propres moyens.</p>
<p><strong>Si vous partez de Salta</strong><br />
Le bus part de la gare de Salta. Premier arrêt à Campo Quijano où l’on peut observer une vieille loco à vapeur, une des premières à desservir la ligne, ainsi que la tombe de l’ingénieur Maury. Arrêts suivants: le Viaduc El Toro, un des plus long de la ligne, puis Yacoraite pour admirer les belles couleurs et les impressionnantes formations géologiques. Autre arrêt : El Alfacito où l’on prend le petit déjeuner. Le bus passe par la Quebrada de las Cuevas (Le Ravin des grottes) pour aboutir à San Antonio de los Cobres. <br />
C’est ici que l’on monte dans le train bleu comme le ciel… Les six grandes rames équipées et modernes du nouveau train (audio, guides, langues, bar et restaurant) montent courageusement à l’assaut de la montagne dans des paysages désertiques et majestueux. C’est un des trains les plus hauts du monde : le départ à Salta est à 1 187 m d’altitude, Tacuara à 3 036 m, San Antonio de los Cobres où l’on monte dans le train à 3 774 m et la dernière station, Viaducto La Polvorilla, à 4 220 m, 224 m de long en grande boucle à 64 m de hauteur (Le sommet du Mont Blanc n’est que 600 m plus haut) !<br />
La visite au sommet dure une demi-heure et l’on reprend le train pour le voyage retour. À San Antonio de los Cobres, deux heures de libre pour trouver un petit resto de votre choix pour déjeuner et visiter le marché artisanal. Le bus s’arrêtera encore à Santa Rosa de Tastil pour la visite du musée et/ou l’achat d’artisanat et de souvenirs. Nous sommes dans la zone du Qhapaq ñan, le Grand Chemin des Incas. En route vers Salta, petite collation dans le bus. Retour à Salta, les yeux pleins d’étoiles et emplis de paysages fabuleux……</p>
<p><strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/Nuages_3.jpg" style="margin: 0 auto; display: table;" />Côté Pratique</strong></p>
<p>‒ RV à la gare de Salta vers 6 h du matin, départ du bus à 7 h, retour à Salta vers 20 h 30.<br />
‒ Au printemps et en été, se munir de lunettes soleil, protection solaire, veste coupe-vent, bouteille(s) d’eau, . En automne, vêtements plus abrités.<br />
‒ Pour éviter le mal de l’altitude, la veille, pas de boissons alcoolisées, manger léger et bien dormir…<br />
Infusion de coca gratuite à bord pour éviter les maux de tête <br />
‒ Compter entre 120 et 180 euros la journée</p>
<p><strong>Contacts</strong></p>
<p>Tren a las Nubes : Ameghino 660, à l’angle de la Calle Balcarce, Salta. (54) (9387) 422-8021. <br />
ventas@trenalasnubes.com.ar..<br />
Une agence de voyages pour concrétiser la visite : https://www.daytours4u.com/fr/travel-guide/daytours4u/tren-de-las-nubes-tout-ce-que-vous-devez-savoir/</p>
<p style="text-align: center;"><br />
<strong>LE VIEIL EXPRESS PATAGON (LA TROCHITA)</strong></p>
<p><br />
<strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_1_m.jpg" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" />Situation</strong></p>
<p> Il s’agit d’un tronçon de voie étroite situé entre les villes de El Maitén et Esquel, Province de Chubut, Patagonie Andine.</p>
<p><strong>Histoire</strong></p>
<p> En 1922, le gouvernement argentin décide de construire une voie ferrée entre les villes de Ingeniero Jacobacci et Esquel via Ñorquinco et El Maitén de manière à intégrer cette partie de la Patagonie au reste du pays et à la côte Atlantique. Travail titanesque réalisé à la pelle et pioche et un peu d’explosifs. La voie ferrée arrive à El Maitén en 1941 puis à Esquel en 1945. L’écartement sera de 75 cm à un mètre, d’où son nom de "trochita", le petit écartement. La distance est de 402 km et comporte 626 courbes !<br />
À partir de 1950, en plus de fret, le convoi commence à transporter des passagers et devient un lien indispensable pour les villes et villages de la région. L’amélioration des routes et chemins affectèrent négativement le transport de fret mais impulsa fortement celui des voyageurs puis du tourisme. En 1993, le gouvernement ferme la ligne mais les gouvernements provinciaux de Río Negro et de Chubut choisissent de maintenir le tronçon El Maitén-Esquel en fonction, devenu depuis une grande attraction touristique. Train déjà plus que centenaire, donc ! </p>
<p><strong>Circuit</strong></p>
<p> Le train serpente sur des terrains pauvres en arbres mais riches en moutons, l’un expliquant peut-être l’autre... Avec un peu de chance, on peut apercevoir des troupeaux de guanacos ou des autruches ñandu. Le convoi roule tranquillement entre des collines magnifiquement colorées… <br />
Les difficultés économiques ont obligé la compagnie à restreindre quelque peu les sections en fonction. Les arrêts à Lepa, Leleque et La Cancha ont été temporairement suspendus.</p>
<p><br />
<img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_2_m.jpg" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" />Aujourd’hui, les options possibles de voyages sont :<br />
‒ De El Maitén à Desvio Thomae et retour.<br />
‒ De Esquel à Nahuel Pan et retour (18 km). Le train longe le pied du Cerro Nahuel Pan, traverse la route mythique N 40, et entre sur le territoire d’une communauté mapuche tehuelche. À Nahuel Pan, 45 mins d’arrêt<br />
avant le voyage retour, temps mis à profit par les passagers pour visiter le Musée des Cultures Originaires et le marché artisanal. En été, il y a une dizaine de sorties par semaine. L’arrivée sur Esquel mène le train à plus de<br />
700 m d’altitude d’où l’on domine toute la ville. À ne pas rater...<br />
Compter environ 35 euros AR, buvette à bord, commentaires et explications par un guide de l’entreprise.</p>
<p> Le Museo Ferroviario et les ateliers ferroviaires se trouvent à El Maitén où les techniciens créent littéralement de nouvelles pièces puisqu’il n’y a plus de pièces de rechange d’origine. Ils déclarent fièrement « ici, on répare l’irréparable ». De fait, les machines sont de véritables antiquités (la plus vieille date de 1890 !) pour lesquelles ces artisans (artistes ?) accomplissent des miracles. Les visites se font une heure avant le départ du train.<br />
D’autres ateliers fonctionnent aussi à Esquel.</p>
<p><strong>Le matériel roulant</strong><br />
Les locomotives à vapeur sont des marques Baldwin (états-unienne) et Henschel (allemande) fonctionnant originellement au charbon qui a été remplacé par du fioul. Il y en avait une vingtaine sur la ligne complète mais les difficultés de maintenance ont réduit le nombre à une demi-douzaine.<br />
Les wagons sont d’origine belge et datent de 1922 ! Une salamandre à bois permettait de chauffer l’espace en hiver. Il existait une « classe touriste » aux sièges en bois, et une « première classe » aux sièges recouverts de cuir.</p>
<p><strong>Contacts</strong></p>
<p>Gare de El Maitén : angle des rues Rivadavia et French ‒ Lun à ven 8 h à 14 h ‒ +54 (2945) 495-626 ‒ ferroelmaiten@gmail.com ‒ Jours de voyages et horaires flexibles, à consulter sur https://latrochita.org.ar/el-maiten.<br />
Gare de Esquel : Rues Roggero et Brun ‒ Lun à ven de 8 h à 14 h ‒ +54 (2945) 451-403 ‒ latrochitaesquel@hotmail.com ‒ Jours et horaires à consulter sur https://latrochita.org.ar/esquel.</p>
<p>Pour plus de renseignements :<br />
Site web : www.latrochita.org.ar.<br />
Autre site intéressant : https://www.turismoruta40.com.ar/la-trochita.html#mapa.</p>
<p><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_3__m.jpg" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><img alt="Trochita 4.JPG, mar. 2023" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_4_m.jpg" /></figure>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_8_m.jpg" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_5_m.jpg" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_6_m.jpg" style="margin: 0 auto; display: table;" /><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_10_m.jpg" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" /><br />
<strong><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/.Trochita_7_m.jpg" style="float: right; margin: 0 0 1em 1em;" /></strong></p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p><strong>LE TRAIN DES CHUTES D’IGUAZU</strong></p>
<p><strong>Situation</strong></p>
<p> Le train des chutes permet de faire le tour et d’accéder aux immenses et magnifiques chutes du fleuve Iguazu situé à la frontière nord de l’Argentine dans la Province de Misione (frontière avec le sud-ouest du Brésil et le sud du Paraguay). On est ici au cœur du Parc national. Iguazu à environ 1.270 km au nord de Buenos Aires.<br />
Les chutes se situent à 18 km de la ville de Puerto Iguazu, sur la Route Provinciale RP 101. On y arrive en avion, en voiture, en bus, en taxi, en moto ou à vélo. Les parkings sont payants : voiture 5 €, moto-vélo 2,50 €.<br />
L’entreprise de transport Rio Uruguay de Puerto Iguazu propose un départ toutes les 15 minutes depuis le Hito de las Tres Fronteras (la Borne des Trois Frontières) dans la ville de Puerto Iguazu en passant par la Gare routière.</p>
<p><img alt="" class="media" src="http://peuples-du-monde.com/public/Iguazu.JPG" style="margin: 0 auto; display: table;" /></p>
<p> </p>
<p><strong>Le Tren de la Selva (Le train de la forêt)</strong></p>
<p> </p>
<p> Le train (écologique) de la forêt emmène ses 200 passagers sur un circuit de 3,7 km à une vitesse de 18 km/h ! Partant de la Estación Central proche du Centre des visiteurs, il fait escale à la Estación Cataratas puis continue jusqu’à la Estación finale Garganta del Diablo en 30 minutes. Le tarif du parc inclut le circuit du tren. Le train est accessible aux fauteuils roulants. Le train donne accès aux trois principaux sentiers de marche : les Paseos Superior, Paseo Inferior et la Gorge du Diable. Pour préserver le milieu ambiant, les locos sont électriques ou à combustible GNL. Fréquence : un ou deux trains par heure. Le dernier départ est à 16 h.</p>
<p><strong>Tarif </strong><br />
Entrée générale : 4.700 pesos de 2023 soit environ 15 euros.<br />
De 6 à 16 ans : 1.700 pesos soit environ 5 euros.<br />
Les personnes en chaise roulante : gratuit en présentant un certificat de handicap (si possible en Espagnol). La personne accompagnante ne paie pas non plus.<br />
On peut acheter ses billets en contactant le lien https://ventaweb.apn.gob.ar/reserva/parques.<br />
<br />
<strong>Les Chutes d'Iguazú </strong></p>
<p> Déclarées Patrimoine de l’Humanité par l’Unesco en 1984, une des Sept Nouvelles Merveilles du monde en 2011 et qualifiée de Valeur Universelle Exceptionnelle par l’Unesco en 2013, elles sont sans aucun doute parmi<br />
les plus belles du monde ! L’ensemble compte 275 chutes dont la plus haute tombe de 82 m…<br />
L’ensemble des chutes s’étale sur 2,7 km et débite 1.800 m<sup>3</sup>/sec.<br />
<strong>Le centre d’accueil</strong> : le centre des visiteurs s’appelle Yvy Reta, soit « Pays des arbres » en guarani. On y trouve cafés, restaurant, centre explicatif, plan du parc, WC, parking voitures, un distributeur de billets. Étant donnée la dimension du parc, il est recommandé de répartir les visites sur deux jours. Votre deuxième jour ne coûtera que 50 % du prix d’entrée. Les tarifs différenciés se calculent en fonction de votre origine. Les locaux ne paient rien, les Argentins une somme raisonnable, les autres paient 25 € pour toute la journée. Cela comprend la visite au centre d’accueil des visiteurs, le petit train de la forêt autant de fois que voulu, l’accès à tous les sentiers et circuits et la traversée en bateau jusqu’à l’île San Martín.<br />
Personnes à mobilité réduite : le parc est gratuit pour elles ainsi que pour une personne accompagnante ! Le parc a été pensé pour que les personnes en chaise roulante ou à capacité physique réduite puissent circuler comme tout le monde. Les sentiers, les passerelles et les balcons ont été construits en fonction de leurs besoins. Presque tous les endroits de ce vaste parc sont accessibles à ces personnes. Des chaises spéciales sont à leur disposition aux endroits-clés. Le train et les toilettes sont tous accessibles aux fauteuils roulants. Une partie du circuit inférieur n’est pas praticable car plusieurs volées d’escaliers. Le circuit supérieur et la passerelle vers la<br />
Gorge du Diable sont complètement accessibles.<br />
<strong>Comment s’habiller ?</strong> Le parc recommande des vêtements légers de couleur claire, de bonnes chaussures et peut-être une petite parka pour se protéger des brumes humides lorsque l’on approche des chutes.<br />
<strong>Où manger ? </strong> Le parc est bien équipé pour vous nourrir. En plus du restaurant La Selva (la Forêt) en face du Centre des visiteurs, neuf locaux vendant snacks, boissons, glaces, cafés, etc. sont répartis dans le parc. On peut aussi apporter son pique-nique et ses boissons.<br />
<strong>Où se loger ?</strong> Il existe bien un hôtel dans le parc mais c’est un cinq étoiles, pas exactement à la portée de tout le monde. En général, les gens se logent à Puerto Iguazu qui n’est qu’à 18 km du parc et viennent en bus ou en<br />
taxi s’ils n’ont pas de véhicule propre.</p>
<p><strong>Les sentiers </strong><br />
Plusieurs panneaux en couleurs montrent les chemins à suivre. Presque tous sont accessibles aux fauteuils roulants.<br />
Le Sendero Verde (le Sentier Vert) : ce sentier de 650 m relie la gare centrale à la gare Cataratas ; compter une promenade de 30 minutes. <br />
Le Circuito Inferior : un sentier de 1,7 km qui traverse la forêt. Compter 1 h 30 de marche. Il part près du Viejo Hotel Cataratas. C’est le sentier à suivre si l’on veut passer sur l’île San Martín.<br />
Le Circuito Superior : départs à 100 m de la gare Cataratas. Environ 1,8 km de sentiers, balcons, miradors et passerelles qui vous emmènent au ras des chutes ! Compter une heure de marche.<br />
La Isla San Martín : par une déviation du sentier inférieur, on aboutit à une plage où attend le petit bateau qui fait traverser le rio jusqu’à l’île. Pour atteindre le sentier sur le plateau au sommet de l’île, il faut d’abord escalader<br />
les escaliers. Le sentier mène au balcon situé juste en face de la Cascada San Martín. Compter 2h sur place, de 10h30 à 15h30. Si le rio est trop énervé, pas de bateau !<br />
La Garganta del Diablo (la Gorge du Diable) : toute une aventure ! On peut y arriver à pied, une bonne ballade dans la forêt, ou en train. De la gare, une passerelle longue de 1 km juste au-dessus des eaux bouillonnantes<br />
mène l’explorateur intrépide que vous êtes devenu(e) des fameuses Gorges du Diable, les chutes les plus impressionnantes du parc, une hauteur de 82 m (comme un édifice de 30 étages ! On peut aussi s’y rendre à pied :<br />
compter 2 heures de marche depuis le Centre d’accueil. À la gare, WC et snack.<br />
Le Sendero Macuco : 3,5 km (aller simple) de sentier au plus près de la forêt, avec panneaux explicatifs. Ouvert de 8 h à 15 h à partir de la gare centrale. Vous entrez dans le territoire des petits singes Cai qui vivent souvent<br />
par groupes d’au moins 20 individus. Ne surtout rien leur donner à manger ! Au bout du sentier, la chute Arrachea. Compter 3 h AR.</p>
<p><strong>Contacts</strong></p>
<p>info@iguazuargentina.com. <br />
Site sur https://iguazuargentina.com/es/</p>Armenie 3 - Ophélieurn:md5:f98acbc8930bf8692c3aa9194cd444852019-12-28T13:25:44+01:002019-12-28T13:28:19+01:00Ophélie<p>APRES MA VISITE AU HAUT KARABAGH<br />
CHAPITRE IX, LE HAUT KARABAGH, pages 149-156 et pratique pages 272, 282-283,
297, 331.<br />
Accès à Stépanakert par le col de Kelbadjar.<br />
La route a été entièrement refaite (2019). Départ de Erévan. Prendre la
direction de Sévan.<br />
km 60 – On tourne à droite juste avant la presqu'île de Sévan. On longe le lac.
Un panneau indique ''Stepanakert 265 km''.<br />
km 90 - Bifurcations pour Gavar et pour Noradouz.<br />
km 120 - Martouni. Plusieurs petits hôtels. Un grand supermarché.<br />
km 158 - Vardenis.<br />
Après Vardenis, montée au col de Kelbadjar. La vue est superbe. On entre
ensuite dans une belle gorge, très encaissée jusqu'à Dadivank.<br />
km 161- Bifurcation. A gauche Chambarak, à dr Karvachar. Prendre
Karvachar.<br />
km 216 - Bifurcation. Karvachar et Drmbon. Prendre Drbon.<br />
km 220 - Bretelle pour Dadivank à 4 km de la route.<br />
km 228 - Retour à la route principale. La vallée s'est élargie.<br />
km 243 - Motel Artsakh.<br />
km 260 - Drmbon. Au sud du lac de retenue. Ici la route se sépare. A gauche
Mardakert (à 34 km), à droite Stépanakert.<br />
km 320<br />
Stépanakert est à une soixantaine de kilomètres de D.mrbon. Ce qui fait en tout
320 km de Érévan. Mais si vous voulez aussi visiter Gandzassar, il faut compter
une cinquantaine de kilomètres en plus. Il est tout à fait possible de partir
de Érévan, de visiter Dadivank et Gandzassar et de dormir à Stépanakert. Le
jour suivant vous pouvez prendre l'autre route: Stépanakert-Goris.</p>
<p>DADIVANK<br />
Comme déjà dit il n'y a pas d'hébergement ni de restaurant à Dadivank.<br />
Nous avons trouvé un petit motel restaurant à 16 km en direction de Drmbon /
Mardakert. 2 ch. à 10 000 drams. Pdj extra. Portable – 097- 11 04 12
(Armen).</p>
<p>MARDAKERT<br />
Hotel Mantash. Juste à l'entrée de la ville venant de Drmbon. Petit bâtiment
avec un jardin agréable. 4 ch à quatre prix différents 15 000, 20 000, 25 000
et 30 000 drams ! Marchandable.<br />
Sans pdj.<br />
Tel. à vérifier : 097-20 80 55 (Susanna) et fixe 0474-2-1055<br />
Hôtel Lusasthkh – 5 rue Sakharov – oazisedita@mail.ru – (097) 20 30 40, (097)
22 81 31, (097) 29 60 09, (047) 42 17 03 – 13 ch. avec ou sans sdb. Dortoir à
3000 dr le lit. Cela nous a paru bien simple.<br />
<br />
GANDZASSAR (et Vank)<br />
Un musée des manuscrits (Madénataran) a été ouvert. Pour la somme modique de
250 dr vous admirerez de splendides enluminures. Surtout ne vous en privez
pas.<br />
L'hôtel Eclectica propose maintenant 8 ch doubles ou triples avec sdb à 25 000
dr et deux cottages à 50 000 dr – 097 30 46 43 et 097 33 00 99 (Zara) –
zarine.baghdasaryan@mail.ru – L'endroit est toujours aussi original et aussi
sympathique simplement il pourrait être un peu plus propre.<br />
Levon Hairabedian a construit un second hôtel, le Tsovinkar, à 2 km de là. Même
style kitch ahurissant d'inspiration marine. Mais nettement moins bon à notre
goût. Il est sombre. 7 ch. avec sdb de 25 000 (triple) à 35 000 dr (quadruple);
avec pdj. Ch sans sdb à 5000 (indiv.) et 10 000 (double). Réservation via
l'autre hôtel. Par contre il est affublé d'un bon restaurant.</p>
<p>STEPANAKERT<br />
Information.<br />
L'office du tourisme a été déplacé. C'est un kiosque sur le trottoir en face de
l'hôtel Armenia, place de la Renaissance. Tél. (47) 94 91 77.</p>
<p>Hébergement<br />
A Stépanakert plusieurs hostels ont ouvert. Ils sont en général d'un bon
rapport q/p. C'est par exemple le cas de :<br />
Hostel № 1 – 40/1 avenue Azatamartikenri (des partisans) – Tel. 097 50 11 11 –
Une chambre luxe à 15 000 dr. Dortoir à 4000 dr le lit. C'est propre. C'est un
bon rapport q/p. Pdj extra à 1000 dr.<br />
Nrane (prononcer Nerané) – 09724 57 58 – Baghramyan 21 – C'est tout neuf,
achevé à l'automne 2019. A la limite de l'agglomération. Une villa qui donne
sur la vallée-jardin. Vue dégagée. Un petit appart avec coin cuisine pour 4
pers. Et 5 ch. Repas possible mais prévenir à l'avance. Sgl 16 000 dr, dbl 24
000 dr.<br />
Chambre d'hôte Chez Kara – 35 impasse Baghramyan – Tel. 23 33 88 et 097 23 33
88.</p>
<p>Dans les hôtels les plus chers ajouter<br />
Hôtel Europe – europehotelartsakh@gmail.com – 26 Azatamartikneri – (47) 975 782
et portable: 97-255101 – www.hoteleurope.am – Ch. indiv. 25 000 dr, double 35
000 dr. On ne peut pas ne pas le remarquer avec sa façade verre et alu qui
contraste avec celle des autres immeubles en pierre de l'avenue.</p>
<p>Restaurants<br />
Florence – 57 rue Toumanian – Dans l'angle sud-ouest de la place Renaissance, à
votre gauche lorsque vous êtes face à l'hôtel Armenia. Vous ne pouvez pas
manquer ce très joli bâtiment. L'intérieur est cossu et agréablement décoré. Le
service est bon. Nourriture arménienne et occidentale. Vu le cadre on pourrait
s'attendre au coup de bambou : pas du tout, il faut compter dans les 5000 dr p.
pers, sans alcool.</p>
<p>Shopping<br />
Nereni – Rue Grikor Lusavoritch (Grégoire l'Illuminateur) 10/50 – Tél. (47) 94
87 11 et portables 097 21 77 11 et 097 21 27 11 – nereni.nk@gmail.com.</p>
<p>EXCURSION A TIGRANAKERT.<br />
Départ de Stépanakert.<br />
Au bout de 15 mn on arrive à Askheran. A l'entrée de l'agglomération une énorme
forteresse. Elle est vide et sans grand intérêt à l'intérieur. Elle est en
cours de rénovation, une rénovation telle qu'elle va bientôt apparaître comme
neuve.<br />
km 34. Arrivée à Tigranakert. Après avoir traversé des plantations de
grenadiers et de plaqueminiers (kakis) ainsi que des vignobles. Les trois
principaux sites sont dans une enceinte. (Entrée payante, modique). Une fois
franchie la porte de l'enceinte on trouve à droite les bains royaux en face le
château-musée et à gauche le quartier fortifié. Les restes de la citadelle sont
hors de l'enceinte. Le château a tellement été restauré qu'il paraît neuf. Le
musée à l'intérieur est d'un intérêt limité. Faute d'être intéressant,
l'endroit est agréable.<br />
L'église en haut de la colline est à 6 km, accessible par la route. Elle est
intacte mais très sobre. Le plus intéressant est la vue à 360˚.</p>
<p>AMARAS (55 km)<br />
Pour Amaras prendre la direction de Karmir Shouga (à 36 km, cela veut dire
«marché Rouge», mais c'est le nom d'un village). Après Karmir Shouga prendre à
gauche (station de gaz). Un peu plus loin Amaras est fléché sur la droite (15
km).<br />
Cette construction entamée par Grégoire l'Illuminateur a été reprise par son
petit-fils Grégoris, mort en 338 en voulant évangéliser cette région. Il est
enterré sous l'autel. Un escalier permet d'y accéder. L'église a été construite
en 489.</p>
<p>CHOUCHI<br />
La mosquée a été restaurée tout comme le marché en face. Une bonne partie des
immeubles délabrés ont été retapés. Le tout est moins sinistre qu'auparavant.
Mais c'est vide. Il n'y a pas d'animation.</p>
<p>TSITSERNAVANK<br />
Il y a désormais un petit guest house à 1 km. C'est l'hôtel Melikatoun. C'est
bien fléché. Deux ch. à 5000 dr sans pdj ou 6000 / 7000 dr p. pers. en
demi-pension. Tél. 098 69 73 19 (Valer).</p>
<p>GANDZASSAR<br />
Deux fresques ont été dégagées dans l'église principale (C). D'un côté la
lapidation de Saint-Etienne, de l'autre Saint Nicolas.</p>
<p>FORMALITÉS<br />
Il n'y a plus besoin de visa. Il suffit de donner son nom au poste de contrôle
à l'entrée et à la sortie du pays sur l'une ou l'autre route (Kelbadjar, ou
Goris) en montrant son passeport. Il n'y a plus besoin de passer au ministère
des Affaires étrangères à Stépanakert.</p>Géorgie 2 - Ophélieurn:md5:cdf80b79291e54f913f6ecf70f4137d22019-12-28T13:19:59+01:002019-12-28T13:27:54+01:00Ophélie<p>Lasha Pirtskhalaishvili possède un 4 X 4 familial. Il parle couramment
français. Il possède une aubergedans les environsde Tbilissi.</p>
<p>portable : (+995) 514 109 109<br />
facebook : Lasha Pirtskhalaishvili<br />
lasha.p@yahoo.com</p>
<p>Lasha propose une auberge « Agro Guest House Korena » à Guelati dans les
environsde Koutaïssi, à côté du monastère, à 7-10 min à pied. L’auberge est
construite avec le matériel vieux d’une siècle. C’est la maison traditionnelle
avec la cuisine dans un bâtiment séparé, comme c’est la coutume en Géorgie
occidentale. Dans la cuisine les femmes préparent des plats traditionnels ,
avec des produits naturels. L’auberge propose les soirées avec les chants
polyphoniques et des cours de cuisine, auxquels les touristes participent
souvent.</p>Géorgie 2 - Administrateururn:md5:53d72e2f756e304efaf0afe8ccdfec3a2019-12-26T14:06:27+01:002019-12-27T10:39:47+01:00Administrateur<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:0in;margin-bottom:.0001pt;line-height: normal;background:white">Géorgie 2 - Elodieurn:md5:cd3e87f954dadea9be3fce3feda6697b2019-08-22T11:01:26+02:002019-08-22T10:47:01+02:00Elodie<p>Bonjour,</p>
<p>Nous rentrons d'un voyage en Géorgie pendant lequel le guide Peuples du
Monde sur la Géorgie nous a été très utile tant sur le plan culturel que sur
les aspects pratiques (gares routières et horaires des marshrutkas). Ci dessous
quelques informations et contacts qui nous semblent utiles :</p>
<p>Trek Mestia Ushguli<br />
Nous avons fait appel à un guide indépendant travaillant au sein d'un réseau de
20-25 guides. Contacts :<br />
- Natia : +995 591 04 77 78 très réactive, anglophone, mais pas disponible au
moment où nous voulions faire le trek. Elle nous a adressés à l'un de ses
collègues.<br />
- Shalva : +995 597 10 04 98 jeune homme de 22 ans orginaire de Mestia,
anglophone, très attaché à la Svanétie et à la faire découvrir. NB: il connaît
les hommes-à-la-clé pour visiter les églises sur le chemin.<br />
Prix standard 250 GEL / jour, prix mini après négociation 200 GEL (prix
plancher)</p>
<p>Guesthouse à Kutaisi : Kutaisi Top Home, 12 Tbilisi Street; tél : +371 28
313 414. Elle est idéalement située, près du théâtre, mais un peu en retraitde
la place et propose des dortoirs et des chambres + une cuisine commune et la
possibilité de faire une lessive pour 10 GEL. L'hôtesse, anglophone, est très
accueillante et très flexible sur les horaires de petit déjeuner (assez rare
pour être mentionné, et utile pour avoir la marshrutka de 8h30 pour
Ghelati...)</p>
<p>Excursion à la journée depuis Borjomi jusqu'à Vardzia avec de multiples
arrêts sur le trajet.<br />
Organisé par Borjomi Tours (une petite cabane qui ne paie pas de mine à côté de
la statue de Tchaikovski), ils sont très réactifs borjomi.tours@gmail.com<br />
Prix compris entre 40 GEL (s'il y a une dizaine de clients) et 50 GEL. L'office
du tourisme institutionnel propose la même excursion à 70 GEL.</p>
<p>A Borjomi : l'office du tourisme donne une carte avec 3 sentiers autour de
la ville. Les sentiers bleu et vert sont bien balisés et entretenus, ce qui
n'est pas le cas du 3ème sentier (théoriquement balisé rouge)</p>
<p>Merci encore pour ce guide qui est une mine d'informations très utiles
!!!!!</p>Géorgie 2 - Administrateururn:md5:1712da62f6473da0f9f8c1b0ccf974462019-08-16T07:48:18+02:002019-08-16T06:48:30+02:00Administrateur<p>A propos de David Gareja. </p>
<p>Depuis l'été 2019.</p>
<p>La partie supérieure, là où se trouvent les grottes dont les parois sont
couvertes de fresques, est occupée par les soldats azeris qui empêchent les
touristes d'approcher.</p>Géorgie 2 - Piccolinurn:md5:30d0362721f92dbe38430906f84256512019-08-15T12:00:27+02:002019-08-15T12:30:05+02:00Piccolin<p>Bonjour<br />
Je suis actuellement en Géorgie avec votre guide.<br />
Pour la page 134, je vous informe que la piste reliant Abastoumani et Sairme
est rouverte.<br />
C’est assez cahotique mais nous avons pu aller à Koutaïssi par ce chemin. Des
travaux importants sont en cours sur le chemin.<br />
Merci pour les précieuses infos du guide. 4x4 et temps sec fortement
recommandés.</p>Géorgie 2 - Administrateururn:md5:023a4508e7c32977d87938283bf4abd02019-07-26T16:50:30+02:002019-07-26T15:51:06+02:00Administrateur<p>Erratum</p>
<p>Page 85 : le trek Omalo-Shatili est indiqué niveau 1. en fait il est assez
difficile et plutôt à classer niveau 3.</p>Armenie 3 - monicurn:md5:7a9b872a2355ac12d55196c1017dff952019-06-04T18:39:34+02:002019-06-06T13:06:48+02:00monic<p>9 jours de voyage avec le guide Peuple du monde en plus des descriptifs
plans et conseils pratiques tres complets il nous a fait découvri l'agence
Arménie et Géorgie voyage www.armenievoyage.com qui nous a organisé un circuit
rempli de bonnes surprises. Nous n'avons pas pu khélas visiter la géorgie mais
comptons bien nous y rendre prochainement</p>Armenie 3 - monicurn:md5:c9f92c7b403204a2bd8767ecd53c3cca2019-06-04T18:38:08+02:002019-06-06T13:06:24+02:00monic<p>9 jours de voyage avec le guide Peuple du monde en plus des descriptifs
plans et conseils pratiques tres complets il nous a fait découvri l'agence
Arménie et Géorgie voyage www.armenievoyage.com qui nous a organisé un circuit
rempli de bonnes surprises. Nous n'avons pas pu khélas visiter la géorgie mais
comptons bien nous y rendre prochainement</p>Armenie 3 - monicurn:md5:b5af4737b4e8b03c5fcfaace4efe8fe02019-06-04T17:41:49+02:002019-06-06T13:05:53+02:00monic<p>Guide Arménie Peuples du monde / Une vraie bible de poche, bien documentée
pour découvrir les monastères avec des plans précis, mais aussi des sites moins
connus. un des points forts de ce guide qui nous a permis de faire des détours
pour dénicher des musées, paysages uniques, caravansérails villages
troglodytes…. Appréciable, dans ce pays où l’alphabet est différent du nôtre et
où de nombreux sites ne sont pas fléchés dans le guide les itinéraires sont
indiqués avec précision et détails aisément repérables.<br />
La rubrique pratique est de bons conseils, nous avons testé quelques bonnes
adresses à Erevan et sur la route, notamment chez Yvette à Garni, qui restera
un de nos souvenirs marquants. Pas assez de temps hélas pour effectuer un des
nombreux treks décrits, sans doute au prochain voyage.</p>Armenie 3 - VARDAN PETROSYANurn:md5:1c3ca28d1b917a24a8ab1c1d9ff4168e2019-06-03T18:12:00+02:002019-06-03T17:20:04+02:00VARDAN PETROSYAN<p>Merveilleux voyage en Arménie grâce au guide Peuples du Monde et aussi grâce
à l'agence Arménie voyages.<br />
Voyez le site : www.armenievoyages.com</p>Pérou3 - Administrateururn:md5:29e3e19594956da9979797f8980733932018-02-05T07:58:55+01:002019-06-05T14:56:08+02:00Administrateur<p><strong>Nous avons reçu le message suivant de William de Cusco
:</strong></p>
<p>A la lecture de l´article “Chez William et Cristina” (logement dans Cusco)
en fait je souhaiterai vous informer que beaucoup de choses ne sont plus
d´actualité.</p>
<p> </p>
<p>Je n´habite plus à côté de l´autre français Arnaud. J´ai déménagé.</p>
<p>Je ne suis plus excentré.</p>
<p>Maintenant je suis situé dans le centre historique à la limite de la
ville.</p>
<p>Comme référence, de la Plaza de Armas jusqu'à chez moi, je suis à 5 mn en
taxi, moins de 10 mn en bus et 15 mn à pied.</p>
<p> </p>
<p>Je propose maintenant 3 chambres MAIS toutes avec salle de bain privative et
petit-déj compris.</p>
<p>Le coût pour une personne est de 50 Soles, et pour un couple les coûts des 3
chambres sont entre 90 pour la plus petite, 105 la moyenne et 120 Soles pour la
plus grande. Sachant que la plus grande peut recevoir jusqu'à 5 personnes.</p>
<p> </p>
<p>Je continue de donner mes informations (banques, changes, restos, centre
historique, vallée sacrée, Machu Picchu, treks, balades à pied hors des chemins
touristiques…) afin de faciliter et que mes touristes gagnent du temps et
surtout les sortir des circuits touristiques.</p>
<p> </p>
<p>En tout cas, je vous remercie énormément pour m´avoir référencé dans votre
livre “Peuples du Monde: Pérou” et si vous pouviez corriger seulement ce que je
vous ai signalé ci-dessus.</p>
<p> </p>
<p>Merci à vous par avance.</p>
<p> </p>
<p>William THEZAN.</p>
<p>Mail: thewill31@hotmail.com</p>
<p>Portable: 95 111 444 1</p>
<p><strong>-</strong></p>
<p><strong>-</strong></p>
<p><strong><br /></strong></p>
<p><strong>Dragonfly, l'auberge de Lima a changé d'adresse. Mabel nous écrit
:</strong></p>
<p>Nous avons déménagé le local de Miraflores en restant à Miraflores
même.</p>
<p>Maintenant notre nouvelle adresse est :</p>
<p>Dragonfly Hostels Miraflores</p>
<p>Calle Tarata 256, </p>
<p>Miraflores</p>
<p>Cette adresse est plus près de parque Kennedy, plus grande et plus
calme.</p>
<p><strong>Nous avons aussi une adresse à Barranco.</strong></p>
<p>Dragonfly hostels Barranco</p>
<p>Jiron Perez Roca 232,</p>
<p>Barranco</p>
<p><strong>Et il y a désormais un troisième DragonFly à Arequipa</strong></p>
<p>Calle Consuelo 209, Arequipa - Tel : +51 (54) 38.45.24</p>
<p>Mabel Blas</p>
<p>DRAGONFLY HOSTELS </p>
<p>LIMA-CUSCO-AREQUIPA</p>
<p>Dragonfly Hostels</p>Pérou3 - alterjavaurn:md5:1409b4e2dc08655c6ba6c5cff02c434d2017-08-02T15:37:06+02:002017-08-02T15:35:21+02:00alterjava<p>Super boulot. Voilà condensées toutes les façons d'aller à MP; Merci
beaucoup</p>Patagonie 3 - Administrateururn:md5:9503b679bfd04bef13df6d5348a5b1192017-02-12T14:10:40+01:002017-02-12T14:24:56+01:00Administrateur<p><strong>MISE A JOUR DE NOTRE GUIDE PATAGONIE</strong></p>
<p><strong>Mise à jour reçue de Gaël Magnaval</strong></p>
<p><strong>USHUAIA</strong></p>
<p><strong>Campings</strong></p>
<p>Les campings du parc national sont équipés de WC, urinoirs et lavabos. Au
mois de janvier 2017, seul le site de Laguna Verde était autorisé au camping.
Attention aux renards qui traînent et qui n’hésitent pas </p>
<p>à rentrer dans les tentes pour voler la nourriture.</p>
<p>Le camping du parc Rio Pipo est prisé des habitants d’ushuaia pour faire des
BBQ. Le cadre reste cependant magnifique.</p>
<p>Le camping municipal, situé à 5 kms à l’extérieur de la ville en direction
du PN, n’est plus en état (au niveau du départ du train de la fin du monde).
Les commodités sont inutilisables et délabrées. Cependant, </p>
<p>la personne à l’entrée du camping donne accès à un WC, une douche et eau
potable sur demande. Le site est très prisé des habitants d’ushuaia le week-end
pour y faire des bbq (jour et nuit). Grosses nuisances </p>
<p>sonores le WE. C’est la seule solution camping de la ville. A priori le site
doit être refait pour début 2018.</p>
<p>Le camping du club andino n’est plus accessible. Un projet de le remettre en
état est en cours.</p>
<p>Le camping Rio pipo à la limite de la ville (à côté du terrain de rugby)
vers le PN accepte uniquement les voitures et camions. </p>
<p><strong>PARC NATIONAL TIERRE DEL FUEGO</strong></p>
<p>Le parc est accessible seulement 48h (2 nuits).</p>
<p>Au mois de janvier seul le site de la lagunaverde était autorisé au
camping.</p>
<p>Faire du stop pour revenir sur ushuaia. De nombreuses voitures passent.</p>
<p><strong>GLACIER MARTIAL</strong></p>
<p>Le télésiège ne fonctionnait pas.</p>
<p>Le salon de thé « cumbresdel martial » propose les meilleures tartes sucrées
(cheesecake, coup de cœur pour la marquise, etc..) de la ville. Au pied du
télésiège. Les parts sont copieuses. Compter 20e pour un </p>
<p>chocolat chaud et 2 parts de tarte.</p>
<p>Sur le sentier du glaciar martial, après la bifurcation vers le mirador de
la ville, au niveau d’un petit ruisseau, juste avant d’attaquer le montée
finale vers le glacier, un chemin bifurque vers la droite dans un </p>
<p>pierrier pour monter vers le paso « « avec une vue magnifique sur la
vallée andorra. (1h de montée).</p>
<p>D’autres chemins autour de ushuaia sont disponibles sur wikiloc, soit pour
rejoindre les vallées, soit pour faire les crêtes.</p>
<p><strong>ISLA NAVARINO</strong></p>
<p><strong>Trek de los dientes</strong></p>
<p>3 km pour aller de Puerto Williams au départ.</p>
<p>32km de trek repérés par bornes numérotées avec indication des kilomètres
parcourus et restant. De nombreux cairns. La fin du sentier n’est pas bien
repérée et les dernières bornes ne sont pas visibles. Le panneau </p>
<p>final est au milieu de nulle part. Depuis le panneau final, prévoir 3km pour
rejoindre la route en visant la mer. Une fois sur la route, faire du stop
permet de rejoindre rapidement Puerto Williamns (8 kms). </p>
<p>Prévoir absolument l’équipement pour la pluie. Souvent de la neige au Paso
Virginia.</p>
<p>L’application wikiloc avec le fond de carte chili (gratuit) repére bien la
trace.</p>
<p>Le SHILA sorte de maison des guides, en face du poste du gouvernement, fait
office de maison du tourisme et propose des guides pour faire le trek. On peut
également y louer/acheter tout le matériel </p>
<p>nécessaire pour la randonnée et la pêche. Le choix reste limité. Vente de
carte.</p>
<p>L’office de tourisme n’existe plus.</p>
<p>Une variante vers le refuge Charles peut être faite par le passage (rajouter
1 jour). </p>
<p>Trek vers le refuge Charles et le lac Windhond. Compter 4 jours pour un
aller retour (23 km). Très belle vue sur les îles du cap Horn. Le lac est
poissonneux. Le chemin pour rejoindre le refuge Charles par </p>
<p>la vallée Ukika n’est pas bien praticable et bien tracé.</p>
<p>Les treks dans la zone de Wulaia ne sont pas praticables.</p>
<p>L’ascension du Cerro Bandera se fait en ½ journée (14 km – 650 m de
dénivelé+ depuis le centre de la ville).</p>
<p>Le musée de ville propose l’internet gratuit. Le musée est très intéressant
sur l’histoire des anciens habitants de l’ile. A notre passage, il restait une
dernière représentante des yaghans, âgée de 70 ans. Les </p>
<p>descendants sont tous issus du mélange des peuples.</p>
<p>L’hostal Forjadores n’a pas changé ses prix. Cependant, la cuisine n’a pas
de gazinière. L’eau chaude est tiède.</p>
<p>Le camping El Padrino (dans le centre ville, même propriétaire que le
Refugio El Padrino) propose une maison à partager avec un jardin pour poser la
tente (8000 $ par personne). Deux douches chaudes, </p>
<p>cuisine équipée, frigo, canapés, poêle à bois et très grand fil à linges
pour faire sécher les affaires. Très bonne ambiance avec des randonneurs.
Cecilia propose de faire des lessives gratuitement ou contre le </p>
<p>montant que l’on souhaite. Elle partage aussi des repas (mariscos,
etc…).</p>
<p>El Refugio est situé en face d’un café au niveau du port.</p>
<p>Le camping est située sur une petit chemin perpendiculaire à la Costanera,
au centre du village. On le voit depuis la corniche aménagée en bois.
S’adresser à la maison rose et demander Cécilia. L’accueil est </p>
<p>très chaleureux. Pas de wifi au camping.</p>
<p>Il y a 5 mini-mercados dans la ville. Les mini-mercado se font
réapprovisionner chaque samedi. Il y des fruits et légumes et le nécessaire
pour se nourrir. Si besoin de choses particulières, il est préférable
de </p>
<p>s’approvisionner à Punta Arenas ou Ushuaia. Boulangerie, la poste, sont
aussi présents.</p>
<p>Le ferry pour revenir vers Punta Arenas est très prisé en été, si prendre à
l’avance. Les semi-camas sont réservés pour les Chiliens (105.000 $) et cama
(147000$). On peut changer de siège au dernier moment </p>
<p>directement à l’agence. S’y rendre régulièrement, il n’y a pas vraiment de
règles. Le bureau de Transbroom est au niveau du port, en face le quai
d’accostage du ferry. C’est une petite maison rose-orangée </p>
<p>avec un tout petit panneau. Il y a souvent des marchandises stockées sur
palette devant. Départ le dimanche à 16h (30h de voyage – repas inclus – un
repas végétarien est proposé sur demande à la </p>
<p>réservation). Le voyage à travers les fjords est magnifique, vue sur les
glaciers et observation des animaux marins. Il y a des douches dans le ferry.
Prévoir de prendre toutes les affaires que l’on juge utile avec </p>
<p>soit (livres, pc, nécessaire de toilette, etc…), car les sacs ne sont plus
accessibles durant le voyage.</p>
<p>1 fois par mois, le ferry fait un aller retour le dimanche matin à Puerto
Torro, port à l’ouest de l’islanavarino, uniquement accessible par ferry.
Départ à 7h30 ou 8h, retour vers 14h. Gratuit. Réserver, même </p>
<p>le jour même soit directement au ferry, soit au bureau de Transbroom. On
peut observer les animaux marins par beau temps (baleines, otaries, lions de
mer, dauphins et de nombreux oiseaux).</p>
<p>Traversée de Ushuaia vers Puerto Williams. Traversée très régulière avec
Rumbo sur. Kiosque au niveau de l’embarcadère, à côté de l’office de tourisme.
4 à 5 départs par semaine en haute saison. Compter </p>
<p>125 US$ par personne pour la traversée.</p>
<p><strong>PUNTA ARENAS</strong></p>
<p><strong>Trek de cabo Froward.</strong></p>
<p>Il y a un bus qui dépose les touristes à San Juan (à 9kms du début du trek
pour 2000 $). Voir avec Sernatur pour les horaires.</p>
<p>Le trek fait 40 km (aller) et alterne entre plage (petits cailloux dans
lesquels on s’enfoncent, plus gros sur lesquels on n’a pas de bons appuis, et
tourbes, etc.). C’est assez physique. La table des marées est </p>
<p>nécessaire pour passer les rivières.</p>
<p>Une variante avec le monte Tarn est possible (ajouter un jour). 12 kms et
925 m de dénivelé+.</p>
<p>Le chemin n’est plus repéré par des bornes (hitos), mais il est jonché de
rubans. Impossible de se perdre. Une carte est disponible pour 4500 $ au
magasin La Cumbre (magasin de trekking) à Punta Arenas (au </p>
<p>croisement des rues Errazuriz et Navaro).</p>
<p>La première rivière (Yumbel) peut se passer à n’importe quelle marée, il y a
des gros arbres. Les autres rivières sont impérativement à passer à marée
basse. La rivière Sannicolas se passe sur un banc de sable </p>
<p>par la mer. Suivre les arbres plantés au milieu du banc de sable. La rivière
nodales se passe au niveau de la rivière, il y a un repère orange sur chaque
rive avec une corde. Légèrement sur la droite en arrivant </p>
<p>au niveau de la rivière.</p>
<p>Attention aux renards qui n’hésite pas à rentrer dans les tentes par tous
les moyens. Suspendre la nourriture.</p>
<p>Nous avons décomposé notre trek comme suit :</p>
<p>Jour 1 : San juan – rivière Sannicolas avec le passage des 2 rivières. (29
kms – 8h)</p>
<p>Jour 2 : Rivière Sannicolas – rivière Nodales (9 km – 2h15). Dépose des sacs
au site de campement dans les arbres.</p>
<p>Jour 2 : Rivière Nodales – Cabo Froward – rivière nodales (20km – 6h). Repas
au campement et passage de la rivière en soirée.</p>
<p>Jour 3 : rivière Nodales – Bahia del Canon (20km – 6h) – C’est la baie des
dauphins.</p>
<p>Jour 4 : Bahia del Canon – Punta Arbol (8km) – Dauphins aussi.</p>
<p>Jour 5 : Monté Tarn et retour à San Juan (20kms – 6h).</p>
<p>Jour 6 au matin : bus pour Punta Arenas</p>
<p>Les horaires des marées fixent l’organisation du trek. Un guide nous a
conseillé également de suivre le plan suivant :</p>
<p>Jour 1 : San Juan – Rio San Nicolas</p>
<p>Jour 2 : Rio San Nicolas – Cabo Froward</p>
<p>Jour 3 : Cabo Froward – rio San Nicolas</p>
<p>Jour 4 : Rio Sa Nicolas – San Juan</p>
<p>Tout au long du trek on a une superbe vue sur le détroit et les montages de
l’autre rive, sur la cordillère Darwin et les glaciers. On peut observer
régulièrement des baleines, des dauphins, et des otaries.</p>
<p><strong>Magasins de trekking</strong> : La cumbre, Zero Grado (en face de La
cumbre), et la zona franca à côté du port.</p>
<p><strong>Reserva Natural de Magallanes.</strong></p>
<p>L’entrée est de 4000 $ pour les étrangers. A l’entrée le garde indique
seulement deux sentiers praticables autorisés, soit 5 km. Mais les autres
sentiers sont aussi praticables. Ils sont repérable grâce à des </p>
<p>piquets à tête rouge. Le bureau de la Conaf de Punta Arenas donne une carte
complète. Une fois sur le site, on s’aperçoit qu’il y a bien plus de sentiers
qu’indiqué sur la carte… pour les âmes plus </p>
<p>aventurières.</p>
<p><strong>Pinguinos de Seno Otway</strong></p>
<p>D’après la Sernatur, la réserve est vide.</p>
<p><strong>Pinguinos de la isla Magdalena</strong></p>
<p>Voir avec la Sernatur pour les horaires et lieu pour acheter les billets.
L’excursion est à 40.000 $ par personne pour 5h (4h de ferry et 1h sur
l’ile).</p>
<p><strong>Hostal</strong></p>
<p>L’hostal Independencia, avenida Independencia 374 (au croisement des avenues
Independencia et Espana) propose un petit site de camping pour 5000 $ par
personne (y aller tôt pour avoir une place, entre 9h </p>
<p>et 10h), et des lits pour 10.000 $ avec petit déjeuner copieux. Wifi inclus.
Edouardo, le propriétaire est très sympa et donne énormément de renseignements.
Très propre. Possibilité de laisser des affaires </p>
<p>pendant les treks.</p>
<p><strong>Restaurant</strong></p>
<p>La marmita est un très bon restaurant mais le coté copieux semble avoir
disparu. Beaucoup d’européens.</p>
<p>Le marché municipal propose des petits restaurants dans les étages au dessus
des étals. Wifi gratuit. Prix du poisson à l’étal très correct. Compter 450 $
pour une portion de ceviche pour 2 directement chez le </p>
<p>poissonnier, 5000 $ dans les restaus. </p>
<p><strong>Parque de Yendegaia</strong></p>
<p>C’est un projet de parc géré par la Conaf, au sud du parc Karukinka. A
priori il sera ouvert au public en 2018. </p>
<p>Il sera accessible en ferry, depuis Puerto Williams. Il y a déjà un arrêt du
ferry qui relie Puerto Williams à Punta Arenas. Il reliera le Parque de
Yendegaia au parc de karukinka.</p>Pérou3 - Administrateururn:md5:106327363f99e901d8bfd2793ae1ec322015-11-26T16:36:58+01:002019-05-29T16:11:46+02:00Administrateur<h2><strong>L’ACCÈS À MACHU PICCHU</strong></h2>
<p>Joyce a épluché tous les guides, brochures, pamphlets, qu'elle a pu trouver
en français, anglais, allemand et espagnol, et aucun ne lui a paru clair et
exhaustif. Après enquête sur place elle donc rédigé notre propre synthèse, La
voici.</p>
<p>Abréviations : MP Machu Picchu, AC Aguas Callientes</p>
<p><strong>CE TEXTE A ÉTÉ INSÉRÉ DANS LA TROISIÈME ÉDITION DU
GUIDE PEUPLES DU MONDE PÉROU PARUE EN MAI 2017.</strong></p>
<p><strong><br /></strong></p>
<p><strong>1 LES BILLETS D’ENTRÉE</strong></p>
<p>Il y a quatre choses à savoir</p>
<p>a)Les billets ne peuvent pas s’acheter sur place à l’entrée. Jusqu’à présent
pour acheter son billet pour le Machu Picchu à Cusco, il fallait se rendre au
bureau de la Direction régionale de Cusco du </p>
<p>Ministère de la Culture situé sur l’Avenida de la Cultura, № 238. Ce vieux
bureau délabré est (était) assez loin du centre et pas toujours évident à
trouver… Depuis mars 2015, un nouveau bureau vient </p>
<p>d’ouvrir dans le centre historique, Calle Garcilaso, № 227. Ou bien au
centre d’information sur le Machu Picchu, 608 av. Pachacutec, Wanchaq, Cusco,
Tél. : (51) 944 24 27 67, (51) 998 89 89 99 et fixe 25 44 18. </p>
<p>Il est aussi possible d’acheter son billet à Aguas Calientes à l’office du
tourisme,</p>
<p>Évidemment le mieux est de l’acheter à l’avance en ligne ne fut ce que parce
qu’il y a un numerus clausus. Mais pour les réductions étudiant c’est
impossible. Il faut acheter le billet en se présentant </p>
<p>physiquement sur place et présenter sa carte d’étudiant internationale.
Voici deux sites pour acheter les billets www.billet-machupicchu.com . Vous y
trouverez des horaires et des prix à jour.‒ </p>
<p>www.ticketmachupicchu.com. </p>
<p>Acheter le billet par avance est problématique. Si par exemple, la simple
entrée à MP est à 43 USD pour les adultes 22 USD pour les moins de 17 ans et
les étudiants, le site www.billet-machupicchu.com </p>
<p>facture 74 USD et 50 USD ! Le site www.ticketmachupicchu.com est moins
gourmand 62 et 37 USD ! </p>
<p>La seule solution si vous ne voulez pas payer plus est le site du
gouvernement : www.machupicchu.gob.pe. Mais il marche très mal : autant la
réservation est facile, autant le paiement est difficile. Au cas où cela ne
marche pas envoyez un courriel en espagnol à callientes@drc-cusco.gob.pe :</p>
<p>Messieurs</p>
<p>J'ai effectué ma réservation pour Machu Picchu. Mon numéro de
réservation est :</p>
<p>Mais je n'arrive pas à payer avec ma carte bancaire. Toutes mes tentatives
de paiement ont été refusées. pouvez-vous m'aider ou me conseiller.</p>
<p>Salutations</p>
<p>Estimados Señores,</p>
<p>Hice una reservación para el Machu Picchu. El número de mi reservación es el
…</p>
<p>Pero tengo problemas para pagar con mi tarjeta de crédito. Todos mis
intentos de pago fueron rechazados.</p>
<p>Agradecería su ayuda o consejo.</p>
<p>Atentamente</p>
<p>b)Vous avez le choix entre le Machu Picchu seul, le MP plus le Wayna Picchu
(page 197), le MP plus la « Montagne » (Montaña, c’est comme cela qu’on
l’appelle sur place), le MP plus le Musée. </p>
<p>Les horaires et les prix sont comme suit : </p>
<p>― MP seul, 6 h à 18 h ; 27 USD </p>
<p>― MP + Huayna Picchu ; première visite possible pour le Huayna Picchu, accès
entre 7 h et 8 h, seconde visite possible, accès entre 10 h et 11 h : 30 USD.
Les horaires sont assez stricts : nous avons essayé de nous présenter à 9 h 30
pour le Wayna Picchu avec une résa pour 10 h et on nous a dit d’attendre.</p>
<p>― MP + la Montagne. Accès à la Montagne entre 7 h et 11 h : 28 USD.</p>
<p>― MP+ le musée. Mêmes horaires que MP c’est-à-dire 6 h à 18 h : 30 USD</p>
<p>Un des problèmes qu’il y a avec cette tarification c’est que vous ne pouvez
pas voir trois choses. Vous ne pouvez pas prendre MP + Huayna Picchu + le Musée
par exemple. Le prétexte invoqué est que vous n’avez pas le temps.</p>
<p><strong>Le Musée.</strong> À 40 mn de marche. Cela risque de vous bouffer
pas mal de temps de visite. Et ce n’est pas très intéressant, il n’y a pas
grand chose à voir.</p>
<p>L’ascension du Huayna Picchu (Wayna Picchu) n’est pas si facile. Nous
l’avons classée niveau 2. Certes le chemin est bien indiqué et bien
aménagé, mais c’est raide et nous sommes en altitude. Il existe une possibilité
de redescendre par un autre chemin vers le temple de la lune et la grande
Caverne. Comptez 2 h 30 en tout avec les pauses. </p>
<p>L’ascension de la Montaña, la montagne MP. C’est simple : c’est deux fois
plus haut que le Huayna Picchu. Et cela s’adresse donc aux pas pressés et plus
sportifs.</p>
<p>c) Il y a des quotas. 2500 personnes par jour pour le MP, 200 p/j pour Wayna
Picchu, 1ère visite entre 7 h et 8 h, et à nouveau 200 pour la seconde visite
entre 10 h et 11 h ; 400 pers. p/j pour la </p>
<p>Montagne, et enfin 2500 pers. p/j pour la musée. En d’autres termes il faut
vous y prendre longtemps à l’avance. En été (notre été) comptez 15 jours.</p>
<p>d) Il existe des tarifs pour les étudiants de moins de 25 ans et pour les
jeunes jusqu’à 17 ans vraiment très intéressants. </p>
<p>Par exemple MP seul, 50 USD au lieu de 74 USD. Vous devez impérativement
être muni de la carte internationale d’étudiant. En principe on ne peut pas les
acheter par internet, mais uniquement sur place (à vérifier). Idem pour les
jeunes jusqu’à 17 ans.</p>
<p>Certaines agences comme « Aventures et cultures andines » déclarent pouvoir
obtenir la réduction étudiant si on leur envoie un scan couleurs de la carte.
Mais, bien entendu, il faudra présenter l’original à l’entrée. </p>
<p><strong>2. L’ACCÈS À AGUAS CALLIENTES (AC) À PIED</strong></p>
<p><strong>a) D’Ollantaytambo en suivant la voie ferrée</strong></p>
<p>Le moins cher consiste à éviter le train. La solution la moins chère parmi
les moins chères est de s’approcher le plus possible en combi, puis de finir à
pied. L’inconvénient de cette solution c’est qu’il y a</p>
<p>beaucoup de trains et que par conséquent suivre la voie ferrée est assez
dangereux. Combi pour Ollantaytambo, nuit dans ce village. Le lendemain essayer
de s’approcher d’AC, toujours en combi. Vous devez pouvoir attendre le
kilomètre 80 ou 82 de Cusco, ce qui veut dire qu’il reste encore 30 km à
parcourir à pied jusqu’à AC. </p>
<p><strong>b) Par Santa Teresa et Hidro</strong></p>
<p>La solution la plus utilisée par les routards consiste à prendre un bus pour
Santa Maria de la gare routière Santiago/Quillabamba ; Son nom officiel est
Santiago Estero, mais les locaux l’appellent plutôt gare de Quillabamba. Elle
est située av. Antonio Lorena, de l’autre côté de la place Almudra. C’est à peu
près à 2 km au S-O de la plaza de Armas. Un taxi devrait vous coûter 4 soles
dans la journée, 6 soles aux aurores. Les compagnies de bus les plus fiables
sont Turismo Ampay et Selva Sur. Départs à 7 h 30, 13 h 30, 19 h 30. Turismo
Ampay passe pour la plus sérieuse. Elle est d’ailleurs plus chère (20 soles)
que Selva Sur (15 soles). </p>
<p><strong>Remarque 1</strong> : à l’arrivée sur la place à Santa Maria (une
heure avant Quillabamba) vous serez pris d’assaut par les chauffeurs de combis.
Si vous êtes tentés, vérifiez bien l’état des pneus. L’idéal serait aussi de
vérifier les freins mais ce n’est pas évident. Ni de savoir si le chauffeur
n’est pas trop casse-cou. Bref cette option est un peu risquée.</p>
<p><strong>Remarque 2.</strong> Si vous avez l’intention de visiter
Ollantaytambo, vous pouvez attraper le bus pour Quillabamba de là. Mais ils
passent souvent complets. Ils s’arrêtent aussi à Urubamba. Même réflexion.
C’est plus facile au retour : descendre du bus bondé à Ollantaytambo et en
reprendre un autre le lendemain pour Cusco.</p>
<p>Il faut compter 6 h jusqu’à Santa Maria (elle-même une heure avant
Quillabamba). Vous descendez donc à Santa Maria. Bien l’expliquer au chauffeur
car il ne s’arrête que quelques secondes, crie « Santa </p>
<p>Maria » et redémarre aussi sec. Des taxis collectifs pour Santa Teresa vous
attendent là. À Santa Teresa il faut prendre un autre taxi pour Santa Teresa
Hidro, qui est non le barrage mais la centrale électrique et qui, malgré son
nom, est plus proche d’AC que de Santa Teresa. A Hidro il y a un petit poste de
contrôle ouvert de 5 h à 16 h. Rien de bien administratif : il s’agit
simplement de signer un registre après avoir écrit son nom et son numéro de
passeport. Ensuite demandez la gare d’Hidro. Là un panneau indique un petit
escalier à droite pour accéder à une voie ferrée au-dessus. De là on prend à g.
et il n’y a plus qu’à suivre les rails lesquels vous font traverser un pont. On
retrouve la rive droite de l’Urubamba. Puis on continue. On longe l’entrée aux
chutes de Mandor, et on contourne par le bas le site de MP, ensuite on récupère
la route et le trajet des bus entre AC et MP (au niveau du pont) pour ensuite
arriver à AC.</p>
<p>De là il reste à faire 15 km en suivant la voie ferrée. Marche facile,
comptez 2 à 3 heures. </p>
<p>Apres 2 h de marche on arrive non pas à la gare d’AC, mais à celle de Puente
Ruinas, que les passagers des trains venant d’Ollantaytambo et de Cusco
n’atteignent normalement pas. Jusque là vous avez suivi la voie ferrée. Vous
pouvez effectivement décider de continuer à la suivre mais vous aurez deux
tunnels à traverser ce qui n’est pas très agréable. Une autre solution consiste
à traverser le pont et de prendre une route. Il reste 15 / 20 minutes à pied
jusqu’ à AC. Signalons qu’il y a un camping sur le trajet, à 15 / 20
soles la nuit.</p>
<p>Tout cela est bien compliqué et certains conseillent de prendre deux jours.
Vous trouverez des hébergements à Santa Maria et Santa Teresa (basiques à moins
de 10 soles) et des troquets.</p>
<p><strong>Variante 1</strong>. Arrivé à Puente Ruinas, il est possible de
rejoindre directement MP sans passer par AC. Évidemment il faut avoir déjà
acheté son billet. Ceci dit il faudra camper puisque le site de MP ferme à 17 h
30. De Puente Ruinas traversez d’abord le pont juste en bas de la gare. De
l’autre côté du pont il y a une route à g. et une à dr. Celle à g. c’est celle
qu’utilisent bus et voitures qui montent à MP. Prendre à dr, puis 20 m plus
loin un petit chemin balisé part sur la g. : c’est le chemin piétonnier qui
grimpe à MP. Il y en a pour 1 h 30. Sur le chemin vous traverserez plusieurs
fois la route principale. Sur le trajet vous trouverez des huttes dans
lesquelles vous pourrez faire une halte. Et vous voilà sur le site. Petit
problème, les sacs à dos du moins les gros sacs à dos (mais où est la limite ?)
sont interdits sur le site. Il est aussi interdit d’y manger.</p>
<p><strong>Variante 2</strong>. Avant 1998, le train Cusco-Aguas Calientes
continuait jusqu’à Quillabamba, quelques heures plus loin dans la Selva.
L’ouragan El Niño de 1998 ayant détruit cette seconde portion de la
voie </p>
<p>ferrée, et la compagnie Perurail n’ayant pas souhaité la remettre en état ce
trajet est aujourd’hui impossible. Cependant, il existe encore aujourd’hui un
dernier bout de voie ferrée qui est encore opérationnelle entre Hidroelectrica
et AC. C’est un train pour les Péruviens (donc pas cher, 50 soles), mais pas
réservable à l’avance. IL y a un bureau de PerúRail sur place. Le problème est
de faire coïncider les horaires avec le périple Cusco-Hidro. Départs à 8 h et
15 h (à vérifier impérativement).</p>
<p><strong>Dormir à Santa Teresa</strong></p>
<p>Certains, pas trop pressés, dorment à Santa Teresa. </p>
<p><strong>Hospedaje El So</strong>l. Dortoirs propres, à 20 soles le lit. Et
aussi quelques ch. avec sdb privée. Appartient à un couple sympa qui possède
aussi l’épicerie placée devant. </p>
<p><strong>Hospedaje Kuechi</strong>. Le panneau indique simplement «
hospedaje ». C’est à l’entrée du village venant de Santa maria. Dortoirs
propres, bien tenus. 30 soles p. pers. </p>
<p><strong>Hospedaje Yacumaru</strong>. Juste en face du précédent. Même
services mais pour un prix double. </p>
<p><strong>Hospadaje Auqui</strong> / Des ch. et non des dortoirs. A partir de
50 soles</p>
<p>Les sources chaudes sont facilement accessibles à pied. Elles sont propres
et dans un joli environnement. Entrée 5 soles</p>
<p>Si vous dormez à Santa Teresa, alors pas de problème : vous pouvez acheter
votre billet de train au terminal terrestre de Santa Teresa (entre 10 h et 13
h) puis prendre un combi pour Hidro et le train de 16 h. C’est confortable,
mais évidemment cela vous prend une journée de plus.</p>
<p><strong>Agences locales :</strong> ce circuit via Santa Maria, Santa Teresa,
etc. est aussi proposé par les agences locales. Dans les 150 / 200 USD
forfaitaires. Mais beaucoup de nos lecteurs se plaignent de déboires
: </p>
<p>mauvaise nourriture, guide incompétent et surtout chauffeur casse-cou sur
une piste difficile (surtout entre Ollantaytambo et Santa Maria). Certaines
agences par exemple, amènent effectivement les </p>
<p>voyageurs jusqu’à Santa Teresa puis les laissent se débrouiller pour la
marche jusqu’à AC. Ensuite l’hôtel soi-disant réservé à AC est minable, et
enfin, à l’arrivée sur le site le guide n’est pas au rendez-vous.</p>
<p><strong>Problèmes</strong> : la portion Ollantaytambo Santa Teresa Hidro est
constamment en travaux. Bien vous renseigner sur l’état de la route. Elle peut
être coupée par des éboulements. Elle peut être aussi en travaux. Dans ce cas
elle est fermée à la circulation le jour et au lieu de prendre le premier bus
de 7 h 30 il faut prendre le dernier, puis Santa Teresa, Hidroelectrica puis
marcher de nuit. Le dernier bus du terminal de Santiago pour Quillabamba est à
21 h 30. On arrive à Santa Maria vers 3 h 15 du matin. À Santa Maria des taxis
collectifs attendent (même de nuit) et ne partent que pleins. Arrivée à Santa
Teresa une heure après, donc vers 4 h 30. De là à nouveau taxis collectifs.
C’est plus aléatoire. Vous risquez de poireauter un peu. Sinon c’est 30 mn de
trajet, puis 2/3 h de marche jusqu’à AC. Quoi qu’il en soit, même s’il n’y a
pas de travaux la partie entre Ollantaytambo et Santa Teresa est vraiment très
mauvaise. Et c’est pour cela que nous insistons pour que vous obteniez des
garanties quant au bon état du bus, quant au sérieux du chauffeur.</p>
<p>Au retour c’est à peu près la même chose. Il faut partir à pied à 5 h ou
bien prendre le train à 7 h 30. (24 soles). Les taxis collectifs attendent
l’arrivée du train vers 8 h. Ils vous emmènent à Santa Maria pour 10 soles. Le
bus pour Cusco part de Santa Maria à 10 h. Si vous le prenez il faut attendre 1
h. Le billet s’achète à la petite boutique de Monsieur Ignacio, sur la place.
Arrivée Cusco 20 h. </p>
<p><strong>3. L’ACCÈS À AGUAS CALLIENTES (AC) EN TRAIN</strong></p>
<p>C’est la solution la plus classique. Signalons tout de suite que vous
n’avez pas le droit de prendre les trains réservés aux locaux. Vous devez
obligatoirement prendre ceux réservés aux touristes, qui sont </p>
<p>beaucoup plus chers.</p>
<p>PeruRail</p>
<p>Deux compagnies permettent de se rendre à AC, de Cusco, Ollaytantambo ou
Urubamba : Inca rail et PeruRail. Vous pouvez acheter votre billet via leur
site et il est conseillé de s’y prendre à l’avance.</p>
<p>www.perurail.com</p>
<p>www.incarail.com </p>
<p>Important : il faut arriver à la gare 30 mn avant le départ avec son
passeport et deux copies du billet électronique, une pour l’enregistrement et
l’autre pour le contrôle à bord.</p>
<p><strong>PeruRail</strong> propose deux niveaux de confort. Il ne s’agit pas
de wagons différents, première et seconde classe, comme en Europe, mais de
trains différents.</p>
<p>Vistadome de Cusco, le plus cher, à 176 USD A/R de Cuzco, et « Expédition »
(appelé jadis backpacker).</p>
<p>Les trains partent de la gare de Poroy à 20 mn de voiture de Cusco, à 6 h
40, 7 h 20 et 8 h 25 et arrivent à AC respectivement à 8 h 52, 10 h 51 et 12 h
11. Ils repartent d’AC à 15 h 20, 16 h 43 et 17 h 23. Si vous venez par le
premier train et repartez par le dernier, cela vous laisse, en tenant compte du
temps de navettes entre AC et MP, 6 h sur place.</p>
<p>Vistadome d’Ollantaytambo (vallée sacrée) les prix varient selon l’horaire
choisi. de 130 à160 USD A/R On voit donc qu’en partant d’Ollantaytambo au lieu
de Cusco on n’économise que quelques dollars. </p>
<p>Mais l’avantage est surtout que prendre le train à Ollantaytambo permet de
disposer de plus de temps à MP. Le premier train arrive à à MP à 8 h 27, le
dernier repart à 18 h 10. Et puis bien sûr vous visitez Ollantaytambo.</p>
<p>Il y a six Vistadome d’Ollantaytambo par jour. L’horaire du premier est 7 h
05 / 8 h 27, et celui du dernier 18 h 10 / 19 h 51.</p>
<p>Vistadome d’Urubamba. Il n’y en a qu’un 6 h 50 / 9 h 24. </p>
<p>Expédition (appelé jadis backpackers) de 96 à 144 USD A/R.</p>
<p>Expedition d’Ollantaytambo. Il y en a aussi six. Le premier 5 h 07 / 6 h 34
et le dernier 21 h / 22 h 43. Cela permet de passer le maximum de temps au
MP. </p>
<p>Il y a aussi des Expedition au départ de Cusco (Poroy) mais avec des
horaires moins pratiques. Le premier 7 h 42 / 10 h 52 et le dernier retour 16 h
43 20 h 23.</p>
<p><strong>Les adresses de PeruRail</strong></p>
<p>Larcomar shopping center, Malecón de la Reserva 610, Plaza Centro,
Miraflores (Lima) ‒ Tlj 11 h-22 h.</p>
<p>Lima International Airport/Jorge Chavez ; vuelos Nacionales, 2ndo piso (vols
intérieurs, 2d étage), entre la Puerta13 y 14 ‒ Tlj 4 h-20 h. </p>
<p>International Airport/Alejandro Velasco Astete (aéroport de Cuzco) ‒
Av.Velasco Astete s/n, Wanchaq ‒ Tlj 7 h-15 h.</p>
<p>Store Cusco-Plaza de Armas ‒ Portal de Carnes 214 Plaza de Armas, Cusco ‒
Tlj 7 h-22 h.</p>
<p>Store Cusco-Plaza Regocijo ‒ Plazoleta Regocijo 202, Urb Centro Historico ‒
Tlj 7 h-22 h.</p>
<p>Wanchaq, Cusco (c’est le principal bureau de vente) ‒ Av. Pachacuteq s/n,
Distrito de Wanchaq ‒ Lun-ven 7 h-17 h et Sam- dim 7 h-12 h.</p>
<p>Poroy (la gare à 20 mn de Cusco) ‒ Calle Roldan s/n Est ‒ Lun-sam 6 h-9 h,
dim. 6 h-8 h 30.</p>
<p>Urubamba ‒ Interior Hotel Tambo del Inka ‒ Tlj 6 h-10 h et 16 h-20 h.</p>
<p>Ollantaytambo ‒ Av. Ferrocarril s/n ‒ Tlj 4 h-21 h.</p>
<p>Aguas Calientes ‒ Barrio Las Orquideas s/n ‒ Tlj 6 h-21 h 30.</p>
<p>Puno ‒ Av. La Torre 224 ‒ Lun-sam 7 h-12 h et 15 h-18 h ; Jours fériés
7 h à 12 h ; Fermé le dimanche. </p>
<p><strong>Inca Rail</strong></p>
<p>C’est le même principe que Peru Rail : deux classes qui cette fois-ci
s’appellent Machu Picchu train et Inca train. La principale différence c’est
qu’il n’y a des trains que d’Ollantaytambo, pas de Cusco. Machu Picchu train :
un seul par jour, aller 7 h 20 / 8 h 50 et retour 16 h 12 / 17 h 50. Dans le
cas d’Inca train il faut compter avec deux classes : exécutive et première Inca
train/exécutive. Allers 6 h 40, 11 h 15, 16 h 36 et retours à 8 h 30, 14
h 30 et 19 h 00. Compter 1 h 30 de trajet.</p>
<p>Inca train/ première classe. Un seul train de cette catégorie joint les deux
villages et entre avril et octobre seulement et pour les fêtes de fin d’année.
Aller à 11 h 15, retour à 19 h.</p>
<p>Les prix, les réductions, les conditions de réservation sont à peu près les
mêmes que pour PeruRail : une centaine d’USD A/R pour la classe la moins
chère.</p>
<p><strong>Adresses d’Inca Rail</strong></p>
<p>Cusco : Portal de Paines, 105, Plaza de Armas ‒ Tél.: (84) 581860. </p>
<p>Lima : Av. Perez Aranibar, 1872, San Isidro ‒ Tél.: (1) 613 52 88.</p>
<p><strong>Les trains de luxe</strong></p>
<p>Le Hiram Bingham est un train de très grand luxe opéré par Peru Rail en
collaboration avec Orient Express. Il part de Cuzco (toujours gare de Poroy).
Des guides commentent tous les détails du trajet. On </p>
<p>arrive et on repart non d’Aguas Callientes, mais de Puente Ruinas qui est
plus près du site. Un thé est servi l’après-midi au Picchu Sanctuary lodge.
Retour à 18 h. Des cocktails sont servis, suivis d’un menu gastronomique.
Arrivée à Poroy à 21 h 30. Transfert au centre ville (20 mn). Tout cela pour
500 USD p. pers.</p>
<p>Inka Rail possède aussi son train de luxe. Mais d’Ollantaytambo. Il
s’appelle Inca Princess. Dép. à 6 h 40, 11 h 15 et 16 h 36 et retours à 8 h 30,
14 h 30 et 19 h.</p>
<p><strong>4 ACCÈS DE AC À MP</strong></p>
<p>Arrivés à AC que vous soyez des touristes aisés qui ont pris le train ou de
routards qui ont marché du km 82 ou de hidroelectrica, vous êtes tous à la même
enseigne. Il faut prendre la navette qui grimpe d’AC à MP. Prix 18 $ A/R, ce
qui n’est pas donné pour la distance. Départs toutes les 10 mn. Certains
routards préfèrent faire l’A/R à pied. Il faut compter 20 mn en bus, à pied
disons 2 h pour monter, 1 h pour redescendre, en jouant sur les raccourcis dans
les virages. Certains routards choisissent la solution intermédiaire : montée
avec le bus, redescendre à pied.</p>
<p>Vous gagnerez de l’argent mais perdrez du temps à consacrer à la visite.</p>
<p>Adresse pour l’achat des billets entre AC et MP : Consettur, Av. Pardo 612,
Cusco pour les billets AC-MP 18 USD A/R. Mais vous pouvez aussi bien les
acheter sur place, il y a des navettes sans arrêt. Il n’y a qu’à ceux qui
veulent prendre la 1ere navette de 5 h 30 que nous conseillons d’acheter le
billet la veille.</p>
<p><strong>5. ÉQUIPEMENT</strong></p>
<p>•un pull chaud et un T-shirt (plusieurs couches pour varier selon les météos
et les chaleurs dues aux efforts physiques !)</p>
<p>•un coupe-vent imperméable</p>
<p>•de quoi se protéger du soleil : de la crème solaire et un chapeau </p>
<p>•des lunettes de soleil</p>
<p>•de bonnes chaussures de marche</p>
<p>•une bouteille d’eau</p>
<p>Remarque : il est interdit de manger sur le site.</p>
<p><strong>PREMIERS CHANGEMENTS 2017</strong></p>
<p>Beaucoup de choses ont changé. Du moins tous les ans il y a quelque chose en
plus. Mais ce n´est chaque fois que du négatif.</p>
<p>Avant on pouvait rester au Machu Picchu toute la journée.</p>
<p>Il y a 3 ans, ils ont instauré un parcours fléché afin que l´on ne puisse
pas faire marche arrière lors de la visite.</p>
<p>Depuis le 1er juillet 2017, les autorités ont mis en place un nouveau
règlement qui limite le temps de permanence dans le site de Machu Picchu à
maximum 4h pour tous ceux qui optent pour un ticket d'entrée simple
(c'est-à-dire sans la randonnée au Huayna Picchu ou au Cerro Machu Picchu) avec
(en principe) l'obligation d'être accompagné d'un(e) guide
local. </p>
<p>Les autorités ont également mis en place 3 circuits différents : </p>
<p>le circuit No 1 est le plus complet. Il monte jusqu’à la maison du
gardien d’où l’on a la vue d’ensemble sur le site du Machu Picchu et permet
d’inclure le pont inca. Il demandera en gros 3h.</p>
<p>le circuit No 2 accède au site par la partie médiane et demandera de l’ordre
de 2h30. </p>
<p>le circuit No 3 est le plus court et ne demandera que de l’ordre de 2h.</p>
<p>Le choix du circuit se fait au moment où l’on commence la visite.</p>
<p><strong>SECONDS CHANGEMENTS 2018</strong></p>
<p>L´année dernière ils ont décidé de couper la visite du Machu en 2.
C´est-à-dire une visite le matin et une visite l´après-midi.</p>
<p><strong>TROISIEMES CHANGEMENTS décembre 2018</strong></p>
<p>Et, et, et depuis cette année c´est encore pire.</p>
<p>Ils ont découpé la matinée en 3 tranches (6h à 8h, 8h à 10h, 10h à 12h), ce
qui fait que l´on a que 02h00 pour visiter le Machu Picchu. La dernière est
celle de 14h00 ; une certaine quantité de billets est mise à la vente toutes
les heures donc un total de 9 tranches horaire au choix. Il faut
évidemment se présenter au contrôle d’entrée en fonction de la tranche horaire
sélectionnée.</p>
<p>Il faut maintenant un guide obligatoire parce-que comme cela, il sait qu´il
faut sortir toutes les 02 heures, et les touristes n´ont pas le choix.</p>
<p>Donc le mieux maintenant est de faire le Machu Picchu l´après-midi parce-que
l´on peut y rester plus longtemps (en moyenne 03h30).</p>
<p>Le prix d´entrée du Machu Picchu est de 152 Soles (46 Dollars en
moyenne)</p>
<p>Si on veut faire la Wayna ou la Montaña il faut rajouter 48 Soles.</p>
<p>Le prix de la navette Aguas jusqu´au Machu Picchu est de 12 Dollars et 24
A/R</p>
<p>Le coût du train Ollantaytambo – Aguas Calientes est de 120 Dollars A/R en
moyenne.</p>
<p>Voici aussi le lien du site officiel qui vend les billets où l’on peut voir
les prix selon le type de billet (simple ou combiné) :
https://www.machupicchu.gob.pe/inicio</p>
<p> </p>Pérou3 - Administrateururn:md5:1f7848fd80420d2cc1e9402043a678a92015-05-17T09:40:28+02:002015-05-17T08:42:10+02:00Administrateur<p>Guy et Karine</p>
<p>Merci de votre mot. Tout ce dont vous parlez sera intégré dans la 3ème
édition u guide Peuples du Mo,de. C'est pour 2016.</p>Pérou3 - Guy Vanackerenurn:md5:9402a8b9fb92d85f4c9c7889af1e30122015-05-15T17:20:54+02:002015-05-17T08:38:43+02:00Guy Vanackeren<p>Bonjour Patrick,</p>
<p>Merci de ton courriel et de ta visite à Lima. Ce fut bien agréable de vous
recevoir.<br />
Un détail notre agence s'appelle Aventura Latino Americana (pas LatinA).<br />
On peut aussi préciser qu'actuellement il y a au 280 Calle San Agustin de Cusco
le Restaurant Deva qui mélange le typique et le gourmet.<br />
Il y a aussi les sites très beaux sites de la zone d'Espinar Maukallacta (à ne
pas confondre avec le site de même nom mais situé à Paruro), K'anamarka et
Maria Fortaleza. Mentionner le Château du Lac Titicaca à Charcas de Christian
Nonis, avec restaurant, bar, petit port, kayak, jardins superbes et vue
imprenable sur le lac.</p>L'Ouest Américain5 - camping tipsurn:md5:6062b996ba3b73f51651f46b347b29002014-12-19T23:18:30+01:002014-12-24T09:55:42+01:00camping tips<p>needless to say just like your web-site however you need to test out the
particular punctuational on quite a few within your content.. camping tips Most
of them will be filled having spelling challenges and i also to discover that
incredibly frustrating frankly on the other hand I will definitely come back
again.</p>L'Ouest Américain5 - roadceo campgroundsurn:md5:814c839f325612d0e68afea0ef1ccc232014-12-19T12:40:23+01:002014-12-24T09:55:42+01:00roadceo campgrounds<p>This is definitely fascinating, That you are the exceedingly specialist
writer.. roadceo campgrounds We've become a member of your current feed and
search ahead so that you can searching for the rest of your own fantastic post.
As well, I have distributed your website at my internet sites</p>