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1. Le mercredi 17 février 2010, 18:41 par Administrateur

 

Mise à jour de notre guide Chili

Par Jac Forton, l'auteur

Le 5 février 2010

 

DE SANTIAGO A LA PAZ

 

DEPART DE FRANCE

 

1. LIGNES AERIENNES

Air France

Le Vol AF 406 part de Paris CDG Terminal 2 E à 23 h 20 pour atterrir à Santiago à 9 h 25 le lendemain matin, sans escale, un voyage de 14 h　!

Le retour s’effectue par le Vol AF 401 de 17 h 20, arrivée à Paris CDG Terminal 2 E à 11 h du matin.

Iberia

Le Vol IB3411 part de Paris Orly Ouest à 20 h 20, arrivée à Madrid Terminal T4 à 22 h 15. Départ de Madrid Terminal 4S par vol IB6831 de 0 h 10, arrivée à Santiago à 9 h 35.

LAN Chile

Vol de Paris Ouest par Iberia Vol IB 3411 arrivée à Madrid à 22 h 15. Départ de Madrid par Vol Lan LA705 à 23 h 55, arrivée à Santiago à 9 h 35 le lendemain.

Les tarifs sur internet pour ces vols varient de 950 à 1.500 euros. A vous de saisir l’occasion quand elle se présente.

 

2. VISA

Les Européens n’ont pas besoin de visa pour un séjour de moins de 90 jours. Le passeport doit être en règle et valable six mois après votre sortie du Chili.

 

3. L’ARRIVEE A SANTIAGO

 

CONTROLE SANITAIRE

Contrôle poussé des produits suivants qu’il faut déclarer : miel, viandes et charcuteries, fromages et produits laitiers, tous végétaux et fruits, artisanat en bois ou fait avec des produits végétaux, graines et semences. Mieux vaut les déclarer, des chiens entraînés viendront renifler vos bagages. Vous risquez une amende de 140 à 14.000 euros si vous êtes pris, et de ne pas pouvoir entrer. En cas doute, adressez-vous à un inspecteur.

 

MONNAIE et CHANGE

La monnaie chilienne est le PESO que nous indiquons, comme au Chili, par le sigle «　$　» (Le sigle pour le dollar contient deux lignes verticales et, au Chili, est toujours précédé du mot «　US　». Exemple 1 US$ vaut 540 $).

Le change varie constamment entre 700 et 750 $ pour 1 euro. Nous avons utilisé une moyenne de 720 pour donner l’équivalent euro des prix chiliens.

Aucune difficulté à changer les euros à Santiago, c’est plus difficile ailleurs. Mais il y a de nombreux distributeurs de monnaie partout pour retirer des pesos avec votre carte de crédit.

 

DE L’AEROPORT AU CENTRE VILLE

TAXIS　: Prix minimum en taxi　: 12 à 15.000 pesos (20 €) vers n’importe quel hôtel ou domicile à Santiago.

MINIBUS　: TurTransfer ou Transvip　prennent 8 passagers et les conduisent à leurs hôtels respectifs pour 6.000 $ (8 €) par personne. Ils viennent également vous chercher chez vous pour aller à l’aéroport　: TurTransfer　: tél. 677-3600 / www.turtransfer.cl l Transvip　: 677 3000 / www.transvip.cl

AUTOBUS　: les autobus TurBus et CentroPuerto vous y emmènent en 40 minutes.

CentroPuerto　: toutes les 10 minutes pour 1.700 $ (2,40 €) (toutes les 30 minutes aux heures creuses) de 7 h à 23 h. Terminus au terre-plein central de la Station Métro Los Heroes sur Alameda. Arrêts　dans les deux sens aux stations de métro (sur Alameda) Estación Central, U. de Santiago et Las Rejas. tél. 601 9883

TurBus　: toutes les 30 minutes de 6 h à 24 h. 2.000 $ (3 €). Terminus angle des rues San Martin et Moneda près du Palais La Moneda. Arrêts dans les deux sens aux stations de métro (sur Alameda) Los Heroes, U. de Santiago et Las Rejas. Bus un peu plus confortables que CentroPuerto. tél. 601-9573.

VOITURE DE LOCATION　: toutes les agences habituelles, prix européens.

 

4. AMBASSADES　ET CONSULATS

 

AMBASSADE DU CHILI EN EUROPE

- BELGIQUE

Ambassade　: Rue des Aduatiques 106, 1040 Bruxelles.De 9h à 13h. tél. 743-3660 / echilebelgica@minrel.gov.cl / www.embachile.be.

- FRANCE　

Ambassade　: 2 avenue de la Motte-Piquet, 75007 Paris　; tél. 01 44 18 59 60 /echile@amb-chili.fr / www.amb-chili.fr.

Consulats

Paris　: 64, boulevard de La-Tour-Maubourg - 75007 Paris. tél. 01.47.05.46.61 / Fax 01.45.51.16.27 / www.cgparis.cl / cgparifn@aol.com l Bordeaux　: 24, rue de Grassy, 33000 Bordeaux. tél. 05.56.44.12.26 / Fax　05.56.79.03.36 / jean-david-boerner@scp-boerner.fr l Le Havre : 73-75, quai de Southampton, 76066 Le Havre　. tél. 02.35.19.39.91 / 35.90 / Fax 02.35.19.39.92 / lehavre@humtac.fr l Lyon : 6 bis, chemins des Barres, 69370 Saint-Didier au Mont d'Or . tél. 04.78.64.04.94 / consul.chili.lyon@orange.fr l Marseille : 91, rue du dragon, 13006 Marseille. tél. 04.91.37.06.77. & 06.15.89.26.85 / Fax 04.91.37.06.77 / consulchilimarseille@free.fr l Strasbourg : 17 rue de Rosheim 67000 Strasbourg. tél. 03.88.32.60.38 / Fax 03.88.36.02.05 / consulchili-stras@wanadoo.fr.

- SUISSE　

Ambassade　: Eigerplatz 5, 3007 Berne. tél. (031) 370-0058 / embajada@embachile.ch.

Consulat　: WTC, av. Gratta-Paille 2, 1018 Lausanne.

 

AMBASSADES　EUROPEENNES AU CHILI

- BELGIQUE

Ambassade　: Edificio Forum, 11e étage local 1103, Providencia 2653, Providencia, Santiago (métro Tobalaba). tél. 232-1070 / santiago@diplobel.fed.be.

- FRANCE　

Ambassade et Consulat　: Condell 65, Providencia (métro Salvador).

- SUISSE

Ambassade : Américo Vespucio Sur 100, 14e étage, Las Condes, Santiago. De 10h à 12h. tél. 928-0100.

 

De Santiago A La Paz

 

Pour rejoindre La Paz à partir de Santiago, dépendant de son temps et de son budget, le visiteur a le choix entre　:

- la route directe par avion.

- le chemin des écoliers (2-3 jours minimum) qui prend l’avion ou le bus et en profite pour visiter les oasis inoubliables de San Pedro de Atacama ou les paysages magnifiques du Lago Chungará.

 

En avion

Deux lignes aériennes se partagent la clientèle du Nord　: LAN CHILE et SKY AIRLINE. Elles réalisent à peu près les mêmes trajets… pour des prix différents. Lan Chile possède une bonne réputation méritée mais est cher. SKY est meilleur marché mais nous avons été très agréablement surpris par la bonne quaité des prestations.

Plusieurs combinaisons sont possibles　:

- Avion (avec LAN ou SKY) jusqu’à Calama, visite de la mine de cuivre de Chuquicamata, direction San Pedro de Atacama en bus et visite du désert (2 jours minimum), puis l’avion pour La Paz.

- Avion jusqu’à Arica, visite de Putre, des bofedales de Parinacota (eaux affleurantes à 4.000 m), du Lac Chungará, puis retour à Arica pour prendre le bus ou l’avion vers La Paz.

 

Santiago – La Paz direct

LAN Chile

Départ de Santiago par Vol LA964 à 6 h, arrivée à La Paz à 9 h 10 avec une courte escale à Iquique. Lundi, mercredi, vendredi et dimanche (variable selon la saison). Tarif aller simple variable mais compter environ 320 euros. Retour de La Paz à 10 h arrivée à Santiago à 15 h 10.

LAN Chile : Huérfanos 926, Santiago Centro (Metro Plaza de Armas). Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h. Le samedi, de 10 h à 12 h 45 tél. 600-525-2000 de partout au Chili, ou 565-6498 à Santiago.

SKY Airline

Départ de Santiago à 7 h 15, arrivée à La Paz à 11 h 20, vol n° 400. Tarifs aller-retour divers selon les possibilités de changement ou d’annulation, de 280 à 390 € . Retour de La Paz à 12 h 25, arrivée à Santiago à 18 h 35.

SKY Airline : tél. 600　600 2828 / reservas@skyairline.cl / www.skyairline.cl / Pour téléphoner de l'étranger : 00-56-2-353-3169 / A Santiago : Huérfanos 815, Santiago Centro. Métro Plaza de Armas. (2) 632-9449 / Antofagasta : Velásquez 890 local 3. tél. (55) 459-090 / Calama : Latorre 1499 tél. (55) 310-190 Arica　: 21 de Mayo 356. tél. (58) 251-816.

 

En Bus

Le voyage est assez long mais évidemment beaucoup moins cher que l’avion. Il faut compter au moins 18 à 20 h de route….

Plusieurs lignes de bus circulent entre Santiago et le nord du Chili. La plus importante, moderne et confortable est TurBus.

Sur toutes les lignes, préparez-vous à regarder et écouter des heures de video de films US.

 

Santiago – Arica

7 h 12 h 35 le lendemain

8 h 30 14 h 40

16 h 23 h

Départs du Quai 59 de la gare routière San Borja sur Alameda, Bus cama à 55.000 $ (75 €), bus semi-cama à 40.000 $ (55 €).

 

TurBus　: Terminal TurBus, Alameda 3750 (Métro U. de Chile, ligne rouge) tél. 270-7500

 

Arica – La Paz

De ARICA, diverses lignes font le voyage à La Paz à partir du Terminal Internacional situé rue Diego Portales 1002 à côté du Terminal Rodoviario. Départs entre 8 h et 10 h. Les tarifs oscillent entre 10 et 15 €. Horaires changeants, il est utile se renseigner par téléphone dès que vous arrivez au Chili.

Chile Bus tél. (58)222-817 lCuevas tél. (58)241-090 lTrans Salvador tél. (58)246-064 l Zuleta tél. (58)241-090.

 

ATTENTION　: pour des raisons de fisc chilien, il n’est pas possible d’acheter ces billets de bus ou d’avion sur internet. Mais on peut téléphoner et essayer de réserver par téléphone　!

 

Une petite visite de SANTIAGO (tél. 2)

 

Approche historique

Les premiers signes d'occupation humaine datent de 11 000 ans av. J.C. Vers 900 ap. J.C. apparaît la culture Aconcagua dont les nombreuses peuplades proviennent probablement des hauts-plateaux des Andes.

Au XVe siècle, les Incas envahissent la vallée. Le chemin de l'Inca commençait à Cuzco au Pérou, traversait le désert d'Atacama, suivait les vallées centrales et aboutissait (probablement) au rio Maule dans le sud du pays.

Les conquistadors espagnols suivirent les tracés incas, conquérant leurs divers points stratégiques pour les retourner à leur bénéfice. La future capitale du Chili est fondée par Pedro de Valdivia en 1541 au pied du Cerro Huelén (en mapuche : "le présage") que les Espagnols rebaptisent Santa Lucia, du nom de la sainte du jour. Le début de ville est vite rasé par les Mapuches sous la conduite de Michimalongo. Elle est reconstruite au même endroit selon la coutume coloniale espagnole de développer la ville autour d'une place centrale appelée Plaza de Armas, lieu traditionnel des parades militaires, du petit commerce et... des exécutions publiques. Au cours des siècles, plusieurs terremotos (séismes) détruisent la ville. Les habitants reconstruisent inlassablement.

Les encomiendas, système par lequel les Espagnols reçoivent de la couronne le droit d'exploiter des terres ou des mines en utilisant la main d’œuvre indigène moyennant un tribut, fait que la région se peuple lentement d'Espagnols et leurs familles, puis de leurs descendants créoles et métis. La plupart des conquérants préfèrent les terres du sud. Mais les révoltes mapuches les repoussent sur Santiago.

La région centrale devient la grange à blé, le jardin potager et le verger du Chili ! Ce sont aussi de bonnes terres à vignes qui s'y implantent sans problème et sont encore aujourd'hui, une des principales productions de la région. La ville s'étend rapidement dans toutes les directions. En 1872 apparaissent les premiers tramways à traction animale. Les années 1870 sont celles des architectes et du style français.

Le salpêtre et le cuivre dans le nord, le charbon dans le sud, donnent naissance à une classe de nouveaux riches qui ont les yeux tournés vers l'Europe, en particulier vers Londres et Paris. C'est l'époque de la construction de magnifiques mansions. On dit que Santiago devient alors une des plus belles villes du sous continent.

Vers les années 1915-1930, la ville s'étend vers l'est (Providencia) et le nord (Bellavista) où la municipalité reboise le Cerro San Cristobal. Les années 30 voient la construction d’un quartier administratif autour du Palais de La Moneda. Vers 1960, les gratte-ciel font leur apparition et la ville compte 2 millions d'habitants. Le désir de 'modernité' provoque un véritable massacre des anciennes constructions, une des raisons pour lesquelles il reste si peu d'édifices de plus de 50 ans aujourd'hui.

La dictature du général Pinochet et des secteurs civils qui l'ont soutenu (1973-1990) arrête le processus de développement des infrastructures pour 15 ans. Le retour de la démocratie en 1990 ne modifie rien au système économique ; la macroéconomie prospère et les tours poussent comme des champignons. Le centre ville ressemble de plus en plus à Dallas. A tel point que l'excellent guide chilien Turistel de 2004 a baptisé le centre historique de Santiago de "City".

En 2010, avec ses 6 millions d'habitants, la région métropolitaine est le principal centre économique, financier et commercial du pays, et Santiago, une ville au centre dynamique et moderne, entourée d'une immense périphérie.

 

La ville de Santiago

 

Le centre historique

La Plaza de Armas (1) est le centre social de la capital. Sur le côté ouest, la cathédrale (2) est la cinquième sur ce site, les quatre autres ayant été détruites par des tremblements de terre. Sur le côté nord de la place, le Correo Central (la poste)(3), monument national, l’ancienne demeude des notables espagnols puis chiliens, avec son nouveau Museo Postal, très intéressant. Juste à côté, le Museo Histórico Nacional (4), ex-palais de l'Audience Royale d'Espagne (Cour suprême). Formant avec les deux précédents bâtiments un magnifique pan de la Plaza, la Municipalidad (5) de Santiago occupe un édifice construit sur le site d'une ancienne prison.

La Casa Colorada (6), le musée de l'histoire de la ville de Santiago a été refait et compte une nouvelle salle. La visite du Museo de Arte Precolombino (7) est hautement recommandée tant pour la qualité des pièces exposées que par les explications donnant une grande compréhension de l'évolution des cultures pré-hispaniques de toute l'Amérique latine.

En face du musée, le Palais des Tribunaux (8) en style néoclassique et l'ancien Congreso Nacional (9).

Sur l'Alameda, face à la rue McIver, la très belle Iglesia San Francisco (10). Sur le côté de l'église, le Museo Colonial et son patio jardin. Juste derrière, les petites ruelles pavées appelées Paris et Londres qui, avec les rues Maturana et Concha y Toro situées près de l'avenue Brasil (métro Republica), sont les uniques rues "sinueuses" de la ville.

Sur Alameda, à hauteur du métro qui porte son nom, la Universidad de Chile (11), une des plus belles constructions de style néoclassique d'inspiration française du XIXe siècle. Un peu plus loin, au coin de la rue Zenteño, l'édifice des Forces armées, haut, gris, triste, semblant toujours surveiller le Palais de La Moneda de l'autre côté de l'Alameda..

 

Les rives du Rio Mapocho

L'ancienne gare Mapocho (12) et, un pâté plus loin, le Mercado Central (13) grand marché couvert tout en poutrelles d'acier. pour y faire un excellent repas.

Au numéro 749 de Esmeralda, la Posada del Corregidor (14) aussi connue comme Casa Zañartu et construite vers 1750, est l’une des quatre belles résidences coloniales encore debout à Santiago.

Le Parque Forestal, le long du río Mapocho, une promenade d'un kilomètre et des poussières jusqu'à la Place d'Italie. Le Museo Palacio de Bellas Artes (15), premier édifice en Amérique latine construit expressément pour devenir un musée des Beaux arts (1907).

 

Le quartier Bellavista

"Quartier de la Bohême", "Rive gauche de Santiago" sont quelques références symboliques qui qualifient ce quartier bien particulier de la ville où habitent intellectuels, artistes, artisans, musiciens. On y accède par le métro Baquedano de la Plaza Italia et par la rue Pio Nono.

La rue Bellavista s'est spécialisée dans la taille et la vente du lapis-lazuli, une pierre semi-précieuse que l'on ne trouve que dans trois pays du monde, dont le Chili.

Tout au bout de la rue Pio Nono, le funiculaire vous emmène jusqu'aux pieds de la Vierge par une ascension de 485 mètres à 45° d'angle !

Tout cet ensemble constitue le Parque Metropolitano situé à 880 m au dessus du niveau de la mer et à 300 m au-dessus de Santiago. LeTeleférico est fermé depuis fin 2009 pour … mise à la vente ! Le Jardin zoologique est ouvert de mardi à dimanche de 10 h à 18 h.

Donnant sur la rue de la Constitución, la petite impasse Fernando Marquez de la Plata abrite la maison-musée connue comme la Chascona où vécut Pablo Neruda, Prix Nobel de littérature.

 

Hôtels

BON MARCHE

Residencial Londres : Londres 54, Santiago centre. Metro Universidad de Chile. Très couru, réservation conseillée. tél. +fx: 638-2215 l HOTEL PARIS : paris 813. Metro Univ. de Chile. Propre. idem ci-dessus. tél. 664-0921 l Residencial Mery : Republica 36. Metro Republica. tél. 696-8883 l Residencial Tabita : Principe De Gales 81, Santiago Centre. Pdj. A Quelques Mètres De La Moneda. Propre Et Accueillant. 15 000 Pesos Double (20 €). Pdj. tél. 651-5700 Fx: 696 9492 l Residencial Kolping : Cumming 102, Santiago. Metro Republica. Propre, Bon Accueil. 14 000 Pesos (20 €) tél. 699-1192 l Hostel Plaza De Armas : Compañia 960, 6e Étage, Portal Fernández Concha En Pleine Plaza De Armas ! Chambres Partagées Et Individuelles. Accessible Aux Fauteuils Roulants. Wifi, TV Cable. Terrasse. tél. 671-4436 / Hostel@Plazadearmashostel.Com / Www.Plaza Dearmashostel.Com l Hostal Dominica　: 8.000 $ En Dortoir, 25.000 En Chambre Double Avec Sdb Et Pdj. Style Intérieur Design Dans Une Ancienne Maison　! Www.Dominicahostel.Com l

MODERES

Marilú`S Bed & Breakfast : Rafael Cañas 246, Providencia, métro Salvador. De 35 à 55 € selon la chambre avec ou sans sdb privée. Une sympathique maison chilienne. T 235-5302 fax : 264-3318 l Hostal De La Barra　: calle José Miguel de la Barra, à la pointe nord du cerro Santa Lucía, métro Bellas Artes. Tout en bois de rauli (sorte de chêne chilien) Dortoir (chambre de 4 lits superposés par deux　: 12.000 $ (17 €), chambre double avec SdB (2 grands lits) à 16 ou 19.000 $ (22 à 27 €). tél. 639-2384 / info@hostaldelabarra.cl / www.hostaldelabarra.cl l Hostal Santa Lucia　: Santa Lucía 168, le long du cerro du même nom, métro Santa Lucía. Chambre dortoir à quatre à 8.000 $ (11 €), simple avec SdB à 15.000 (21 €) et double à 30.000 (42 €). Simple, très propre, récemment rénové, en plein centre, terrasse, wifi. tél. 664-8478 / info@hostalsantalucia.cl / www.hostalsantalucia.cl.

PLUS CHERS

Hotel Galerias : San Antonio 65, Santiago centre. Piscine. doubles de 120 à 150 €. tél. 470-7400 / reservas@hotelgalerias.cl / www.hotelgalerias.cl l Hotel Tupahue　: San Antonio 477, métro Plaza de Armas. Chambre double : 50 à 70 €. tél. 756-2500 l Plaza San Francisco : Alameda 816, Santiago centre. Chambres doubles de 120 à 150 €. tél. 360-4445 / www.plazasanfrancisco.cl.

 

Restaurants

Grande gamme d’établissements en tous genres, du bar-debout au restaurant haute classe. Nous nous limiterons au Centre ville élargi. Les principales concentrations d’établissements se situent autour de la Plaza de Armas, dans les Paseos Ahumada, Huérfanos, Puente et Estado, ainsi que des deux côtés de l’Alameda.

Les deux Bar Nacional (Paseo Huérfanos 1151 en sous-sol et Calle Bandera 337), connus pour leur Borgoña, un pichet de vin blanc ou rouge aux fruits frais, viandes ou poissons. Au Rápido (Bandera 347), spécialisé empanadas. Très animé entre l’heure du midi. Le Steak House (Paseo Huérfanos, en sous-sol) grande salle, buffet auto-service, viandes grillées, plats divers, salades. Pour qui aime les bonnes viandes, le Bávaro (Matias Cousiño, en plein centre). Pour manger chilien, Los Buenos Muchachos (Cumming 1031). Pour les poissons et fruits de mer, le Mercado Central. L'ancien Café Torres (Alameda 1570, récemment redécoré).

Pour les végétariens, El Naturista (Moneda 846). El Vegetariano (Paseo Huérfanos 827, dans la galerie Victoria). Au Natural Green (Paseo Huérfanos 1188), sandwiches, jus de fruits. Enfin, Paseo Huérfanos 824, une galerie pleine de locaux à nourriture rapide.

 

BARRIO BELLAVISTA

C’est un des quartiers les plus animés de la ville le soir surtout en fin de semaine. Très nombreux établissements en tous genres et tous pays, pour tous les goûts, concentrés dans les rues Pio Nono, Dardignac, Constitución et Malinkrodt.

Citons El Toro (Loreto 33 tél. 737-5937), le Galindo (Dardignac 098 à l'angle de Constitución).

 

UN RIEN A L’ECART MAIS VAUT LA VISITE

Los Bucaneros (Alameda entre l’avenida Santa Rosa et la Feria Artesanal, métro Santa Lucía). La Plaza Mulato Gil (Lastarria entre Merced et Alameda). Dans la même rue, le café Utopia ofrre d’excellentes pâtisseries, du vrai café dans un cadre culturel (livres, expositions, musique de la Nueva Trova cubaine, etc). Pâtisseries et café ou thé au Café Colonial (Mac Iver 161) sans oublier le Paula (Ahumada 343 et à l’angle des rues Agustinas et San Antonio), (y compris spécialités pour diabétiques).

 

Informations diverses

Sernatur (Service national du tourisme) : Providencia 1550. tél. 731 8336 et 37 (Metro Manuel Montt). Site : sernatur.cl Ouvert de 9 h à 2 0h tlj en été, de 10 h à 18 h en hiver.

La Poste, principaux bureaux du centre ville : Moneda 1155 et Plaza de Armas.

Telephones : il y a des téléphones partout dans les rues qui permettent d’appeler partout dans le monde. Prix indiqués sur chaque cabine.

Bonnes librairies : LOM : Biblioteca Nacional, à l'arrière sur Moneda, métro Santa Lucia, la plus intéressante. l Feria del Libro : Paseo Huéfanos, centre ville, la plus grande.

 

ARTISANAT

Feria Santa Lucia face au Cerro Santa Lucia au coin de Alameda et Carmen, métro Santa Lucia, la plus importante et variée du Centre ville. l Feria Estación Central : sur le côté gauche de la Gare centrale, Alameda. l Centre d’exposition d’artisanat indigène : sur le côté centre ville du cerro Santa Lucia, métro Santa Lucia. l Lapis-lázuli : pierre semi-précieuse. Plusieurs ateliers (que l'on peut visiter) et points de vente calle Bellavista entre Pio Nono et le Puente del Arzobispo.

 

tél. UTILES URGENCES

Ambulance 131 l Police 133 l Pompiers 132 l Hôpital Barros Luco : Gran Avenida 3204. Metro El Llano (ligne jaune). l Hôpital Salvador : av. Salvador. Métro Salvador (ligne rouge) l Police Internationale : Borgoño 1052 au coin de l’avenue Santa Maria (Metro Cal y Canto). l Police des Frontieres (Extranjeria) : Agustinas 1245 (Métro Moneda).

 

Transports

Circuler à Santiago

En février 2007, le gouvernement et la mairie de la ville ont inauguré le Plan Transantiago, un ambitieux projet de reconversion et intégration totale des services de transports de la ville. On paie uniquement par Cartes Bip rechargeables en de nombreux points de la ville et aux stations du métro. On passe d’un moyen de transport à l’autre, les prix s’ajustant automatiquement sur la carte.

Bus

Des routes de bus locales (par quartiers) emmènent les passagers vers de «　grandes lignes　» (troncales) de bus ou le metro qui traversent la ville. Les bus «　locaux　» ont une couleur différentes par quartier　; il y a 10 zones locales. Les bus «　troncaux　» sont blancs avec une grosse ligne transversale verte en leur milieu. Ils jouissent en général d’une voie réservée et sont donc assez rapides. Correspondance limitée à 40 minutes avec le même billet en zones locales, à 70 minutes en lignes troncales. Renseignements　: tél. 800-730-073 / www.transantiago.cl.

 Le métro

Très propre. On y entre en présentant sa Carte Bip à la machine qui vous donne sur l’écran le solde de votre carte. Pas de contrôle dans le métro, mais peu de resquillage, l'entrée étant souvent surveillée par un garde. Le métro s’est beaucoup agrandi en quelques années passant de deux lignes à six.

Les taxis

Les véhicules présentent une carrosserie noire et un toit jaune. Ils possèdent un compteur qu'ils doivent enclencher en début de course et qui affichera 150 ou 200 pesos (0,25 €), coût de la prise en charge. Le compteur augmentera de 80 à 120 $ tous les 200 mètres ou 60 secondes. Les taxis sont nombreux et bon marché pour des budgets européens, n'hésitez pas à les utiliser, surtout le soir ou la nuit. Tarif parfois plus cher après 20h.

La bicyclette

Pourquoi ne pas visiter Santiago avec d'autres et un bon guide à vélo ?

Santiago on Bike : Catedral 2225, à quelques pas du métro Cumming sur ligne 5 (la verte). tél. 673-4872 / info@santiagonbike.com / www.santiagonbike.com l La Bicicleta Verde : av. Santa Maía 227, métro Bellas Artes sur la ligne 5 (verrte). Tours équipés, 3h. tél. 570-9338 / tours@labicicletaverde.com.

 

MUSEES ET SITES D’INTERET

 

LE CENTRE HISTORIQUE

Centre culturel du palais de la moneda : entrées sur Alameda, gratuit. Expos temporaires. Infos au www.centroculturalpalaciolamoneda.cl l MUSEO POSTAL : Plaza de Armas, lundi à vendredi de 9h à 17h. Gratuit. l museo historico nacional : Plaza de Armas 951 : en été, du mardi au dimanche de 10h à 17h30. Entrée : 2 € ( 638 1411 l museo de la casa colorada (Museo de Santiago), Merced 860 : du mardi au vendredi de 10h à 18h, samedi de 10h à 17h, dimanche et jours féries de 11h à 14h. Entrée: 1 000 pesos (2 €). tél. 633-0723 l museo de arte precolombino : Bandera 361. De mardi à dimanche de 10h à 18h.Jours fériés de 10h à 14 h. Fermé à Pâques et du 25 au 31 décembre. Entrée : 3 000 pesos (5 €), gratuit dimancheet jours fériés. Etudiants et enfants gratuit. Très bonne librairie (quelques livres en Français !), reproduction de pièces. Recommandé. tél. 688-7348 / www.precolombino.cl l museo colonial san francisco, Alameda 834 (ou Londres 4). Du mardi au samedi de 10h à 13h30 et de 15h à 18h. Dimanche et fériés, de 1Oh à 14h. Entrée : 1 000 pesos (1,50 €). tél. 639 8737.

 

LES RIVES DU RIO MAPOCHO

Museo de bellas artes (Beaux-Arts) : parc forestal. Du mardi au dimanche de 10h à 19h. Entrée : 1 000 pesos (1,80 FF). tél. 633-0655 l museo arqueológico : Plaza Mulato Gil, calle Victorino Lastrarría 307 (métro Universidad Católica). Du lundi au vendredi de 10h à 14h et de 15h30 à 18h30. Samedi de 10h à 14h. Fermé le dimanche. Entrée 1 000 pesos (1,80 €). tél. 638 3975 l Museo De Artes Visuales : Plaza Mulato Gil. Mardi à dimanche, de 10h30 à 18h. Entrée : 1 000 pesos (1,80€). tél. 638-3502.

 

BELLAVISTA

Funiculaire de Santiago : au bout de l’avenue Pio Nono. En été : le lundi de 13 h à 20 h, du mardi au dimanche de 10 h à 20 h. En hiver : jusqu'à 18 h. Entrée : montée seule ou descente seule, 800 pesos (1,20 €). Aller-retour adultes : 1 600 pesos (2,40 €), enfants, la moitié. Accès au zoo : 800 pesos (1,20 €). tél. 737-6669 l Le téléphérique qui partait près du funiculaire est fermé pour cause de travaux de modernisation. Au début 2010, pas de date de réouverture indiquée. l La Chascona, La Maison de Pablo Neruda et Matilde　: : calle Fernando Márquez de la Plata 0192. Tout au bout de la rue Pio Nono, prendre à droite puis première petite rue à gauche. Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Entrée : 3.000 $ pesos (2,50 €). Visites en français possible : 5.000 $ ( 8 €). Groupe max 7 personnes. En principe, les entrées se font par ordre d’arrivée. En été, il vaut mieux réserver quelques jours à l’avance au 777-8741 / info@fundacionneruda.org.

 

CALAMA (tél. 55)

 

Arriver à Calama en avion

 

Santiago – Calama　: si LAN Chile offre plusieurs vols par jours à Calama (250 €), la correspondance Calama – La Paz vous obligerait à retourner à Santiago ! On préférera donc SKY Airline, moins compliqué.

Une fois à Calama, des taxis vous emmènent en ville pour 5.000 $ (7 €). De Calama à San Pedro, plusieurs lignes de bus, voir plus loin.

 

Sky Airline

Vol Santiago Calama

168 14 h 17 h

Vol Calama Santiago

177 18 h 30 21 h 15

 

Tarif　: 85.000 à 120.000 $ (110 à 165 €) selon le type de billet. 20 kg bagage. 5kg bagage à main.

Se présenter au moins une heure avant le vol.

 

Arriver à Calama en Bus longue distance

Plusieurs lignes voyagent vers le nord à partir du Terminal San Borja (Terminal Norte) de Santiago sur Alameda (métro Estación Central sur la ligne rouge).

 

Santiago – Calama　avec TurBus (la plus importante compagnie de bus au Chili)

9 h 7 h 15 le lendemain

10 h 30 9 h 10

 

TurBus　: départs du quai 59 de la Gare routière San Borja sur Alameda (Métro Estación Central sur la ligne rouge). Siège incliné (semi-cama)　: 34.000 $ (47 €) et bus-lit (cama)　: 50.000 $ (70 €). Autre Bus cama à 10 h 20, arrivée le lendemain à 9h10.

 

De Calama ou San Pedro à La Paz

Deux possibilités　:

1- Prendre le bus jusqu’à Antofagasta ou Arica puis l’avion ou le bus vers La Paz.

2- Prendre le vol Calama-Antofagasta de 8 h de SKY puis la correspondance vers La Paz à Antofagasta à 9 h 30.

Le train de Calama à Uyuni et La Paz ne roule plus… Des bus relient Calama à Uyuni via San Pedro de Atacama. De Uyuni, on continue sur Oruro et La Paz en train ou en bus.

 

Calama – Arica

7 h 17 h 30

22 h 05 6 h

23 h 10 7 h 30

22 h 20 9 h 15

Tarif　: 15.000 $ (20 €)

 

San Pedro – Arica : le bus part à 20 h 45, le même qui quitte Calama à 22 h 05, arrivée à Arica à 6h.

 

La ville de Calama

 

Avec ses 100 000 habitants à 2 250 mètres au-dessus du niveau de la mer, c’est la plus grande des oasis de cet énorme désert. Située sur le fameux Chemin de l'Inca dans la portion reliant Arequipa (au Pérou) et Copiapó (plus au sud au Chili), Calama n'était à l'origine qu'un petit village sans importance. Le grand centre, atacamène d'abord, inca ensuite, était alors Chiu Chiu à une dizaine de kilomètres au nord-est. La ville prend une certaine importance en 1833 lorsque Simon Bolivar (la zone était alors territoire bolivien) y installe le Service des postes faisant la liaison entre le port de Cobija et la ville de Potosí. En 1865 Calama devient un important centre administratif. En 1879 les troupes chiliennes occupent la ville suite à l'annexion de toute cette province bolivienne.

1886 voit l'arrivée du chemin de fer et 1911 le développement de la mine de cuivre de Chuquicamata, "Chuqui" comme on dit ici. Aujourd'hui Chuqui constitue la plus grande mine à ciel ouvert du monde. Le centre ville est assez petit, mais animé.

Une visite intéressante　: Chiu Chiu et la plus vieille église coloniale du Chili. Il n’y a plus de bus et il faut s’y rendre un taxi mais c’est cher (20.000 $ soit 27 €). La communauté de Chiu Chiu met un minibus à disposition des habitants et des visiteurs, départ à 11 h 30 devant le Terminal de TurBus..

 

LA VISITE DE LA MINE DE CHUQUICAMATA　

S’adresser à une agence à Calama, au centre d’information touristique ou à l’entreprise. On y arrive en prenant le collectif jaune qui part de la rue Sotomayor entre Latorre et Abaroa.

Les premiers coups de pelle ont commencé à la main en 1910, puis, à partir de 1930, d’énormes grues dont un exemplaire trône à côté de la statue au mineur de Chuqui, ramassaient des tonnes de minerai d’un seul coups de pelle avec des dizaines de camions gigantesques qui transportent des dizaines de tonnes d’un seul coup de benne　!

Chuqui est aujourd’hui la mine de cuivre à ciel ouvert la plus grande du monde　: 5 km de long, 2 km de large, 700 m de profondeur. La visite d’une heure et quelque en bus commence par une explication de comment s’extrait le minerai, son traitement et son raffinage pour obtenir un produit pur à 99,98 %　!

 

Hôtels

El Loa : Abaroa 1617. Simple, propre, tranquille.4 chambre double avec SdB à 16.000 $ (23 €)) et 7 chambres simples à 7.000 $ (10 €). Bon rapport qualité prix. tél. 341-963 l Residencial Cavour : Sotomayor 1841. Chambre double avec SdB à 12.000 $ (17 €). tél. 317-392 l Hosteria Calama　: Latorre 1521. Simple à 35.000 $ (48 €)), double à 42.000 $ (58 €).tél. 341-511 / hcalama@tie.cl l El Mirador : Sotomayor 2064. 15 grandes chambres, terrasses. 40.000 $ (55 €). Agréable et confortable. Wifi. Tour octogonale, d’où le nom. tél. 340-329.

 

Informations diverses

Museo arqueológico : ouvert du mardi au dimanche de 9h à 13 h et de 15 h à 18 h. Entrée très modique.

Visite de la mine de Chuquicamata　: du lundi au vendredi à 14h et, en été, à 15h. Visite gratuite mais on est invité à donner ce qu’on veut pour «　les œuvres　» de l’entreprise, en général en faveur d’enfants défavorisés. On suggère un minimum de 1.000 $ (1,50 €)). Manches longues, pantalons longs et bons souliers obligatoires. S’inscrire au moins la veille à l’office du tourisme ou aux tél. 322-122 ou 327-550 / visitas@codelco.cl.

 

Transports

Vers Chiu Chiu　: départ à 11 h 30 devant le Terminal de TurBus 1.500 $ (2 €)..

Vers San Pedro de Atacama (SPA) : Buses Atacama　: à l’angle des rues Antofagasta et Abaroa. Départs à 8 h 15, 13 h 30 et 18 h. Tarif début 2010　: 2.500 $ (3,40 €). l Buses Frontera　: Antofagasta 2041. Départs à 8 h 30, 12 h, 13 h 40, 16 h 30, 18 h et 20 h 30. Tarif début 2010　: 2.500 $ (3,40 €). Certains bus continuent jusqu’à Toconao et Peine. tél. 318-543.

Bus longue distance　

Tur Bus : Terminal Balmaceda 1852. tél. 316-699 et 314-745 / www.turbus.com l Flota Barrios　: Ramírez 2298. tél. 341-497 l TurBus　: Ramírez 1852 tél. 316-699 l Pullman Bus : Sotomayor 1818 ou Balmaceda 4155. tél. 319-665 et 330-832 / www.pullman.cl l Geminis : Antofagasta 2239. tél. 341-993.

 

SAN PEDRO DE ATACAMA (tél. 55)

 

Ce qui était autrefois un petit village isolé est devenu un des centres touristiques les plus courus du Chili. Les maisons de terre et leurs patios arrière n’abritent plus des paysans aymaras mais une suite ininterrompue de restaurants et d’agences de voyage presque tous tenus par des Europées qui sont aussi la grande majorité des visiteurs. Car il y a vraiment beaucoup à voir dans la région　!

 

Dans San Pedro

L’église andine typique à la tour-clocher bien séparée, peinte en blanc de chaux et entourée de son petit mur, date de 1641 mais les murs actuels ont été refaits en 1744　! Juste à côté, le Museo Gustavo Le Paige du nom de ce prêtre belge qui avait reçu des mains des Aymaras toutes les pièces contenues dans le musée pour les protéger des pillards de tombe qui allaient jusqu’à vendre aux musées les crânes qu’ils volaient dans les tombes indiennes.

Le Pukará de Quitor à 3 km au nord du village vaut la promenade est le site d’une ancienne forteresse pré-incaïque. On peut y aller à pied (1 h, prendre chapeau et bouteille d’eau), en vélo ou en taxi.

Les ruines de Tulor　(7 km au sud du village) sont les restes d’un ancien village datant de 800 ans av.J.-C. dont on peut distinguer les restes des maisons circulaires. Deux de ces maisons en terre reliées par un couloir arché ont été reconstruites.

 

Les environs proches

La Vallée de la Mort　(Valle de la Muerte) : ainsi nommée parce que de nombreux caravaniers venant de Bolivie et se rendant sur la côte y mouraient à cause de la température et de l’abolu manque d’eau. Magnifiques couleurs et paysages d’une extrême nudité.

La Vallée de la Lune　(Valle de la Luna) : mérite bien son nom pour ses paysages véritablement lunaires et ses formations de roches de terre et de sel sculptés par les vents.

La Vallée de l’Arc-en-ciel (Valle del l’Arcoiris) : le nom de cette nouvelle destination se comprend par l’extraordinaire variétés des couleurs des roches.

 

Les environs plus lointains

Les Geysers de El Tatio　à 4.320 m d’altitude exigent un départ à 4 h du matin car ils n’explosent qu’au lever du soleil　! Piscine d’eau à 35°C dans un air à 0°　!

Les lagunas de Miscanti y Miñiques　: également connues comme las lagunas altiplanicas, ce sont deux magnifiques lacs d’un beau bleu ciel bordés d’une langue de sel blanc sur fond de montagnes ocres. A voir.

 

Hôtels

Beaucoup d’offres de logement pour un si petit village　! Nombreux hôtels dans le centre ville.

Sanchek　: Calama 370 à l’angle de Le Paige. Chambre simple : 10.000 $ (14 €), double　: 16 à 25.000 $ (18 à 30 €). Accepte les cartes de crédit.Café et restaurant à côté. tél. 851-112 / sancheksp@hotmail.com l Terracota　: Tocopilla 517. 25.000 $ (30 €)) avec Pdj. tél. 851-612 l la casa de la profe (la maison de l’instit’)　: Callejón Toro, Domingo Atienza, Ayllu de Yaye. Pour couper les prix, il est possible de louer cette maison écologique en terre à deux couples par exemple　: deux chambres, cuisine et salle à manger équipées, toilettes-salle de bain, terasse et vue sur le volcan Licancabur　! Contacter Mónixca Pérez au 09-888-8599. Toute la maison pour environ 25 ou 30.000 $ (35 à 40 €). C’est à 3 km au sud de la ville mais les taxis s’y rendent sans problème pour 2.000 $ (2,50 €) et viennent vous y chercher rapidement.

 

Transports

Vers Calama

Buses Atacama　: gare routière sur Licancabur à 8h, 14h et 18h. 2.500 $ (3,40 €). tél. 851-501

Buses Frontera　: gare routière sur Licancabur à 12h, 16h, 18h et 20h. Tarif début 2010　: 2.500 $ (3,40 €). tél. 851-117.

Vers Arica　

Turbus　: Licancabur 294 (sortie nord de la ville). 10.000 $ (15 €).

Geminis　: Gare routière Licancabur.

 

Agences de tourisme

Il y a une agence tous les dix metres ! Toutes offrent à peu près les mêmes circuits pour à peu près les mêmes prix. A vous de faire du lèche-vitrine ou d'y aller au feeling. Ci-dessous quelques agences qui nous ont donné satisfaction.

Ayllu : Caracoles 330, notre favorite. tél. 590-610 / www.ayllu.cl l Turismo Layana : Tocopilla 418. tél. 851-308 / info@turismolayana.cl / www.turismolayana.cl l Cosmo Andino　: Caracoles 851. tél. 851-069 l Pirka Exploraciones　: contacter Jaime Cáceres, sitio 7, Ayllu Poconche tél. 09-9352-648.

Quelques prix (selon les agences) :

Vallée de la lune : de 16 h à 20 h 30 pour 6.000 à 8.000 $ (8 à 11 €) l Vallée del Arcoiris (arc-en-ciel)　: 25.000 $ (35€) l El Tatio　: 12 à 15.000 $ (16 à 18 €) l Lagunes altiplaniquues (Salar de Chaxa, Toconao, Socaire, Laguna Miscanti, toute la journée)　pour 21.000 à 25.000 $ (30 à 35 €).

En général, circuits en minibus, petit bus ou véhicule trek, repas de midi compris, entrées aux parcs nationaux non comprises　: 2.000 ou 2.500 $ (3 €)

 

 ARICA (tél. 58)

 

Arriver à Arica par avion

Attention : tarifs, horaires et n° de vols changent régulièrement. Indications valables au 1er janvier 2010. Confirmer les heures de départ sur place.　!

 

Lan Chile

Vol Santiago Arica

392 11 h 35 15 h 20 Escale à Iquique.

162 14 h 20 19 h 30

386 15 h 45 19 h 30

Vol Arica Santiago

381 7 h 15 10 h 45 Escale à Iquique

393 15 h 50 18 h 15

387 20 h 23 h 30

DE 90 000 pesos = 120 € à 180 000 pesos = 250 € selon le jour et la classe.

LAN CHILE : Huérfanos 926, Santiago Centro (Metro Plaza de Armas). Du lundi au vendredi, de 9h à 18 h. Le samedi, de 10 h à 12 h 45 T 600-525-2000 de partout au Chili.

 

Sky Airline

Vol Santiago Arica

202 8 h 40 12 h

162 16 h 23 h 30 Changement à Iquique sur Vol 196

Vol Arica Santiago

197 8 h 30 11 h 45

401 16 h 30 19 h 40

TARIFS (2010, sujets à variation)　: aller simple de 230 à 400 € selon la classe.

 

Bus Santiago - Arica

Terminal San Borja (ancien Terminal Norte), Calle San Borja 184, métro Estación Central

 

Compagnie Bureau n° Téléphone

Pullman Bus 50-51-52 560-3821 600-320-3200 de n’importe où au Chili

Ramos Cholele 58 778-7551

TurBus 59 778-7836

Flota Barrios 54 778-7076

 

La ville d’Arica

C'est la "ville du printemps éternel" : température moyenne aux environs de 22° C toute l'année ! Non seulement il n'y pleut jamais, mais on y trouve la plupart des rares plages aux eaux tièdes d'un océan Pacifique généralement glacé　!

A voir　: le Terminal Pesquero (1) (port de pêche), aujourd'hui restaurant de mille oiseaux de mer… et des visiteurs. Le Mata Rangi est réputé et sa galerie inférieure est à raz de l’eau ce qui permet d’observer les énormes phoques qui nagent sereinement entre les barques. De l’autre côté de la Costanera, la Gare ferroviaire à La Paz (2) devenue le musée ferroviaire, dont la ligne fut construite suite au traité de 1904 et inaugurée en 1913. Le service passagers fut fermé en 1998 mais le service de fret vers la Bolivie continue. La gare est.

De l'autre côté de la rue, la antigua aduana (3) (l'ancienne douane, 1871), un grand édifice tout en métal fondu dans les ateliers de Gustave Eiffel à Paris en 1874, devenu aujourd’hui la maison de la culture et siège de SERNATUR (infos touristiques). Sur la place Colón, la catedral San Marcos (4) dont la structure est également originaire des ateliers Eiffel entre 1871 et 1875 ! A quelques pas d’ici, un nouveau musée intéressant　: le Museo del mar rue Sangra 315.

Au bout de l'avenida Colón, un sentier permet d'accéder au mirador du Morro de Arica (5), symbole de la ville, à 110 m du niveau de la mer. (En voiture, il faut faire le tour par la rue Sotomayor). La presqu’île Alacrán (6) (scorpion), autrefois île raccordée à la terre ferme en 1964, est le site du fortin de protection de la ville construit par les Espagnols au 17e siècle. C’est aussi le site de la fameuse vague dite El gringo, de 3 m de hauteur si plaisante aux surfeurs　!

Les rues Bolognesi et 21 de Mayo, zone piétonnière du centre ville sont commerçantes et dynamiques.

Plusieurs plages n'attendent que votre visite　: La Lisera, El Laucho, Arenillas Negas, Corazones, au sud　; Chinchorro au nord. Attention au soleil　! Tout au nord de la ville (mais à 3 € de distance en taxi　!), le Poblado artesanal (7), réplique du village de Parinacota, tissages, écharpes et pulls en alpaca, poteries en tout genres, pierres taillées, ocarinas (flûtes indiennes) et artisanat divers. En février, "la Ginga", le carnaval ariqueño.

 

Un peu au sud de la ville, la Vallée de Azapa et son musée aux momies qui datent de 5.000 ans av.J　;-C.　! La vallée regorge de petroglyphes (gravés dans la roche), pictoglyypheset geoglyphes qui représentent des animaux ou des humains sur le flanc des collines en amassant des pierres.

A 10 km au nord de la ville, la Vallée de Lluta monte vers la Cordillère des Andes.

 

Putre et le Lago Chungará

La visite à ne pas rater si vous atterrissez à Arica est le Lago Chungara à plus de 4.000 m d’altitude et le Salar de Surire au pied des volcans andins. Le mieux est de s’inscrire dans une agence. Il faut bien connaître les diverses pistes des hauts-plateaux　! Le circuit de toutes les agences est à peu près le même. Il est recommandé, pour éviter la mal de l’altitude (puna, qui donne un terrible mal de tête) de monter doucement, c’est-à-dire de s’arrêter souvent et de passer la nuit à Putre.

Départ de Arica par la Vallée d’Azapa.

Museo arqueológico San Miguel de Azapa (km 15) qui contient les anciennes momies du monde, culture Chinchorro. Plus loin dans la vallée, des milliers d’oliviers dont les fruits sont réputés dans tout le pays. On y cultive aussi la mangue, la banane naine et le melon. Sur la paroi de la colline, des géoglyphes d’animaux et d’humains, peut-être des chasseurs…

Poconchile (km 37)　: église intéressante. Fin de la plaine, on commence à monter vers la Cordillère. Le pukará (fortin) de Copaquilla (km 110) domine les vallées arides et protégeait le passage des montagnes verrs la côte. Un peu plus loin et à déjà 3.000 m d’altitude, le Tambo de Zapahuira, une petite condstruction de pierres qui servait d’étape aux Incas sur leur route entre Cusco et la partie sud de leur empire. Il y a un petit restaurant sympa où l’on peut manger un bon repas pour pas très cher. Socorama (km 125) est un village bien alimenté en eau grâce à la construction de canaux , galeries et systèmes de vannes ingénieux qui lui permettent de faire pousser des fleurs partout. Vaut la promenade.

Putre (km 145) : fondée en 1580 comme étape entre le Haut-Pérou (la Bolivie d’aujourd’hui) et la côte pour les caravanes qui transportaient l’argent dez mines de Potosí. Hôtels et restaurants. C’est à partir de Putre (3.500 m) que l’on commence à voir les vigognes (vicuñas)

Las Cuevas : on y a retrouvé des traces de vie de plus de 9.000 ans. Avec un peu de chance, le guide vous fera passer par des rochers où l’on peut apercevoir des vizcachas de près, ce gros lièvre à tête de rat et queue d’écureuil　!

Parinacota　(km 181) : 129 habitants à 4.392 m, une église magnifique au clocher massif séparé de l’église.

Los bofedales de Cotacotani : une resurgence d’eau provenant du Chungará qui est à l’origine de ces petites lagunes connectées et de ces plans verts où viennent se nourrir de nombreux animaux, entre autres les vigognes.

Los Payachatas sont les deux volcans Parinacota (6.342 m) et Pomerape (6.282 m), aux neiges éternelles. Le Lago Chungará (km 196) s’étale à 4.517 m d’altitude, nappe bleu azur bordée de sel blanc. Plus de 130 espèces d’animaux vivent ici, en particulier la vigogne et son cousin le guanaco, les flamants roses, le renard, le ñandu ou autruche, le canard Tagua Tagua, etc.

Guallatire est un village de 30 habitants au pied d’un volcan du même nom de plus de 6.000 m.

Salar de Surire　(140 km de Putre) : déclaré monument naturel et réserve de la biosphère, il s’agit d’une vaste étendue de bore qui est d’ailleurs exploité. Des dizaines d’énormes camions sillonnent les pistes pour emmener le bore à l’usine de transformation pour en tirer du borax. Sur la partie ouest, des piscines thermales permettent un bain bien chaud à 4.500 m d’altitude　!

 

Précautions pour les visites des hauts-plateaux : la puna peut vous donner de terribles migraines, aussi il est recommandé de ne pas courir ou s’agiter. N’oubliez pas les bloqueurs solaires, lunettes de soleil et chapeau. Des vêtements longs sont le meilleur garant de ne pas souffrir des brûlures d’un soleil implacable… Il est essentiel de s’hydrater donc prenez votre litre d’eau (ou deux demi-bouteilles).

 

Hôtels

Residencial America　: 12.000 $ pp tél. 254-148 l Hotel Saint Gregory　: 12.000 pp avec Pdj. tél. 233-320 l Kolping　: Andrés Bello 1387. de 7 à 11.000 $ (14 €) pp tél. 232-173 l Hostal Jardin Del Sol　: Sotomayor 848. 10.000 $ (14 €) par personne, avec SdB et Pdj. Bon rapport qualité-prix. Très calme, TV, Wifi. tél. 232-795 / info@hostaljardindelsol.cl / www.hostaljardindelsol.cl l Hotel Bahia Chinchorro : Av. Beretta Porcel 2031, à 500 m de la gare routière, à 20 mns à pied du centre, absolument au bord de la plage, sans voisin ! 16 grandes chambres double avec SdB, balcon avec vue sur la baie et Pdj à 28.000 $ (35 €). Bon accueil, propre, vue sur la baie, internet gratis, excellent rapport qualité-prix. Travaille avec l'agence de voyage Latinorizons à Arica. tél. 260-676 / info@bahiahotel.cl / www.bahiahotel.cl.

 

Restaurants

Mata Rangi : sur le port, galerie inférieure quasi sur l'eau où l'on voit passer les énormes phoques. Poissons et fruits de mer en tous genres à prix très abordables. Excellente soupe de poissons. Bonne carte de vins.

Di Mango : nord de la Bahia Chinchorro, au bord de l'océan, à 20 mns à pieds de l'hôtel Bahia Chinchorro. Cuisine variée à prix honnêtes.

 

Informations diverses

Sernatur :San Marcos 101. tél. 232 101 tél. 254-506 et 252-054 / infoarica@sernatur.cl

Musee Historique Du Morro : visites de décembre à février, de 8h0 à 22h. En hiver, jusqu'à 20h. tél. 254-091 l Museo Del Mar　: Sangra 315. Entrée à 2 €. tél. 221-459.

Le Poblado Artesanal (petit village artisanal) ouvre du mardi au dimanche de 9h30 à 13h et de 15h30 à 19h30. tél. 222-683.

Tours En Bateau de la baie et de l'île du Scorpion : du port de pêche. Environ 3 €.

Consulat de Bolivie : 21 de Mayo 575. tél. 231-030 l Consulat du Pérou : San Marcos 786. tél. 231-020.

AGENCES

Latinorizons du Belge Charlie ! Bolognesi 449, Arica. Tours de deux jours-une nuit au Lago Chungará. Nuit à l’hôtel à Putre. 123 € pp repas de midi et Pdj compris)　; trois jours et deux nuits vers Chungará et le Salar de surire, retour à Arica　: 150.000 $ (205 € pp). Très bon services. tél. 250-007 / info@latinor.cl / latinor@entelchile.net l Ecotours : Bolognesi 460. tél. 250-000 l Raices Andinas : tél. 233-305 / info@raicesandinas.com.

Transports

Avions

Aéroport de Chacalluta : tél. 211 116

LAN Chile : Arturo Prat 391. tél. 252-650 l SKY Airline : 21 de Mayo 356. tél. 251-816.

Vers l'aéroport (compter 25 mns). Taxis : 8.000 $ (11 €) l Transfer : 3.000 (5 €) tél. 222-899.

BUS

 

Arica – La Paz

 

De Arica, La Paz n’est plus qu’à 517 km　! Depuis que la route a été refaite, il n’y a plus de train de passagers vers la Paz. Plus rapide que le train, un bus vous y mène en 8 petites heures à travers les Andes… Plusieurs lignes font le voyage à La Paz à partir du Terminal Internacional (Diego Portales 1002). Départs entre 8 h et 10 h. Les tarifs oscillent entre 10 et 15 €. Horaires changeants, il est utile se renseigner par téléphone dès que vous arrivez au Chili. l Chile Bus tél. 222-817

l Cuevas　: tous les jours à 9 h 30 et parfois à 3 h. 10.000 $ (14 €) tél. 241-090 l Trans Salvador tél. 246-064 l Zuleta tél. 241-090. Tarif　semblable pour toutes les lignes　: à partir de 15 €

 

Gare routière vers Parinacota et la Bolivie　: Diego Portales 1002. tél. 248-709.

Gare routière nationale : av. Diego Portales 948 à l'angle de la rue Santa Maria. tél. 241-390

Lignes de bus　: les horaires changeant régulièrement, il est recommandé de téléphoner pour connaître les heures de départ. Toutes ces lignes vont aussi à Santiago. Ramos Cholele　: vers Calama tlj à 22 h 30. 10.000 $ (14 €) tél. 221-029 l Geminis tél. 241-647 l Pullman Bus tél. 223-837 l Flota Barrios　: tlj à Calama à 23 h. tél. 223-587 l Tur Bus tél. 222-217.

Vers Putre : Buses La Paloma : Germán Riesco 2071. tél. 222-710.

Taxis collectifs vers le Museo de Azapa　: angle des rues Chacabuco et Lynch.

TAXIS

Toute course en ville vaut 1.500 $ (2 €). Les taxis collectifs 900 $ (1,25 €).

 

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